1. La bourgeoise et le puceau. (10)


    Datte: 22/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    Depuis que mon mari François a dit à son neveu Florian que j’étais à sa disposition chaque fois qu’il le souhaite et qu’il devait en profiter avant la fin de son stage et son retour sur Bordeaux, j’avoue que ce jeune étalon ne se prive pas. J’avoue également que cela n’est pas pour me déplaire ! Dans notre appartement, j’ai donc pris l’habitude de ne plus porter de string sous mes robes, jupes et autres tailleurs de manière à être ainsi parfaitement accessible. Comme Florian est un jeune homme dans la pleine force de l’âge et semble bourré de testostérone, il a pris l’habitude de me baiser deux fois par jour en semaine, un peu à la va-vite dirons-nous, et plusieurs fois le week-end de manière plus imaginative.
    
    A l’heure du petit-déjeuner, du lundi au vendredi, François n’est pas là car il doit arriver à son bureau au ministère de la culture bien plus tôt que moi dans ma société. Aussi, une fois que je suis habillée, mais sans petite culotte, je me rends à la cuisine et je prépare le petit-déjeuner. Florian doit me surveiller car, à peine suis-je dans cette pièce, qu’il m’y retrouve. Il s’arrange toujours pour me coincer alors que je suis debout face à l’évier ou pencher sur la table pour disposer les bols, couverts et autres fournitures. Il se colle à mon dos, m’attire tout contre lui et m’embrasse dans la nuque en me disant
    
    — Bonjour ma tante. J’espère que vous avez bien dormi. Moi j’ai pensé à vous toute la nuit.
    
    La tension dans son bas-ventre plaqué contre mes ...
    ... fesses me montre que le coquin pense encore à moi. Ses bras m’entourent, ses mains se posent sur mes seins et il ondule doucement du bassin.
    
    Pour jouer le jeu et surtout parce que j’y ai pris goût, je m’incline vers l’avant et je roule des fesses pour mieux le sentir contre moi avant de lui répondre
    
    — Bonjour Florian. Oui j’ai bien dormi et je suis en pleine forme. Ton petit-déjeuner est servi, tu peux le prendre debout si tu le souhaites.
    
    Ses deux mains descendent le long de mon corps, glissent sur mes fesses et retroussent bien haut ma petite jupe. J’écarte bien les jambes tandis qu’il se débraguette et sort sa queue. Je me penche un peu plus et creuse les reins, une vraie pouliche en chaleur qui attend avec hâte d’être montée par un fougueux pur-sang.
    
    Mon jeune étalon s’excite un peu en frottant son gland à ma fente et, entre mes jambes, je sens sa queue qui se tend, gonfle et palpite. Je ferme les yeux pour mieux apprécier l’instant et concentre tous mes sens sur ce pieu brûlant qui me pénètre lentement et me met le feu au corps. Ses mains enserrent ma taille et m’interdisent ainsi tout mouvement. Le marteau-piqueur de Florian se met en route et prend un bon rythme. Je me cramponne à l’évier ou au bord de la table, selon l’endroit où je me trouve, et je le laisse me besogner. Au bout d’une dizaine de minutes, je devine qu’il va jouir et j’essaye d’accorder mon orgasme au sien. Dans un long râle de bête sauvage, il se répand, m’inonde et se vide en moi. Ensuite, ...
«123»