1. Violaine, souvenirs d'antan


    Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, Collègues / Travail grossexe, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, nostalgie, coupfoudr, amourcach, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... joui, bien sûr, en me faisant plaisir toute seule, mais c’était hygiénique, et je n’en avais retiré qu’une satisfaction relative, au point de me dire que si c’était ça, ça n’en valait pas franchement la peine. Pour la première fois, la fille qui habitait mon corps et qui s’abandonnait au bon vouloir d’une langue experte me fit connaître un orgasme fulgurant, incontrôlable, qui me conduisit à la limite de l’évanouissement.
    
    Le garçon l’avait sentie disponible, et elle l’était. Il a terminé d’ôter les vêtements de la belle, pressée d’être enfin nue devant lui. C’était bien mon corps, mais il ne se pouvait pas que ce soit moi, les cuisses écartées, les genoux agrippés par les mains, attendant que ce garçon sans nom vienne profiter d’une vulve inexplorée. Je n’osais pas encore regarder son sexe, gardant ses yeux dans les miens jusqu’à ce que je sente son gland chercher le passage. J’ai passé une main entre nos ventres pour le guider, et surtout pour éviter qu’il ne me pénètre trop brutalement. Il ne savait pas que j’étais vierge. Une fille vierge n’offre pas ainsi son cul à n’importe qui, au premier qui demande, à celui qui ose. Elle se refuse et se fait attendre. Mais celle qui m’habitait faisait fi de tout ça. Elle voulait une queue, tout de suite.
    
    J’ai senti une douleur fugace quand il a forcé le passage ; je me suis concentrée sur la progression de l’engin dans ma chatte pour oublier la douleur et éviter la honte. Ça n’avait en effet rien à voir avec mes doigts. Gros, ...
    ... dur, long, son sexe n’était pas fait pour moi, et pourtant il se faisait progressivement une place suffisante pour lui permettre d’aller et venir dans mon humidité abondante. Je ne peux pas dire que le plaisir ait été immense, mais me savoir prise, sans défense, à la merci de ce garçon, m’avait emplie d’une confiance aveugle. J’avais envie d’être comme les autres à ce moment-là, c’est-à-dire baisée sans retenue. Il en a profité.
    
    S’il m’avait demandé mon avis, je l’aurais prié de se retenir encore un peu, de me laisser le temps de savourer ses ruades. J’aurais voulu qu’il me lime encore un peu, que je m’habitue. Mais il n’a rien demandé. Je l’ai senti accélérer et se raidir, je l’ai entendu râler et jurer. Il a sorti son sexe de mon ventre pour se le secouer devant moi. Pour la première fois je voyais un organe masculin en érection, gluant et brillant, raide comme la justice. Une crème épaisse a jailli du gland violacé, m’envoyant un premier jet sur les seins, le reste sur le ventre. En appui sur ses bras, il a repris sa respiration avec de déposer un baiser sur ma joue et de me remercier comme si je venais de lui rendre un service. Il s’est reculé, et sans autre attention pour moi, a remonté son pantalon et m’a laissée là, comme une conne. J’ai essuyé le sperme sur mon corps et suis retournée à la soirée, heureuse que cette fille qui avait un temps habité mon corps me permette de vivre son extase, et humiliée de n’avoir servi qu’au plaisir égoïste d’un homme.
    
    Je m’en suis ...
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