1. Violaine, souvenirs d'antan


    Datte: 21/07/2018, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, Collègues / Travail grossexe, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, nostalgie, coupfoudr, amourcach, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... son français approximatif, j’ai compris que ça l’excitait à mort de voir mon dos dans le miroir alors qu’il était en train de me défoncer. J’ai voulu voir aussi. C’était beau, en effet. Je ne l’ai pas laissé se retirer quand la pression a été trop forte, et j’ai senti ses jets chauds se loger bien au fond. Nous sommes restés serrés ainsi, collés l’un à l’autre le temps qu’il reprenne des forces.
    
    Ce garçon était décidément un phénomène. Je l’ai senti gonfler à nouveau dans mon vagin. Il m’a à nouveau soulevée pour me retourner et me prendre debout par derrière, appuyée au lavabo. J’ai pu assister dans le miroir à ses assauts autoritaires. Mes seins blackboulaient au rythme de ses coups de queue, ses yeux exorbités lui donnaient un faciès de bête féroce, de lion possédant sa lionne. Il venait de me remplir la chatte moins de dix minutes avant, et cette fois il ne m’a pas demandé de sortir. Il a vu à mes traits crispés et à ma bouche ouverte que j’allais jouir. Il a prolongé mon orgasme autant qu’il a pu, et s’est lâché en moi avec le cri rauque du félin qui règne sur la meute. Malheureusement, il travaillait le lendemain. Nous avons dû nous quitter alors que j’étais exsangue et que j’aurais volontiers partagé ma couche avec lui en espérant un réveil en fanfare.
    
    Vers midi le samedi, j’ai reçu un appel de Rony, qui lui ne travaillait pas. Nous nous sommes retrouvés pour déjeuner à la terrasse d’une brasserie avant d’aller faire quelques pas dans le quartier latin. Le ...
    ... porche d’un hôtel particulier était resté ouvert. Nous nous sommes permis de faire quelques pas dans la cour intérieure pour admirer l’architecture. C’est en ressortant que Rony m’a collée au mur pour m’embrasser. Il était chaud comme une baraque à frites. Sentir son énorme engin emprisonné dans son pantalon m’a réveillée moi aussi. Nous avons vite trouvé un hôtel pour assouvir nos envies.
    
    J’adorais décalotter tout doucement mon amant, faire apparaître progressivement ce qui ressemblait à une boule de glace au chocolat, en aussi gros, mais en beaucoup plus chaud. Mordiller ses seins d’homme, lécher ses bourses prolifiques, gober son manche jusqu’à m’en étouffer. Il m’a laissé jouer un moment, râlant quand j’allais trop loin, pestant quand je le laissais en plan après l’avoir amené au bord de l’explosion. Un instant j’ai eu envie de le faire venir dans ma bouche, sentir sa semence gluante sous mon palais, puis je me suis ravisée.
    
    Il était allongé sur le dos, les bras derrière la tête. Je lui ai demandé de me laisser faire, de se laisser faire. Je l’ai enfourché sans cesser de le branler doucement pour maintenir son engin à la limite ; j’ai caressé ma vulve avec son gland, portant mon clito à sa température de fusion. J’ai senti Rony se crisper. Il devait se dire que j’allais encore le torturer, cesser mes caresses et le laisser en plan. J’ai vu à ses yeux ébahis qu’il était surpris et ravi de me voir au contraire diriger sa queue vers ma vulve, lâcher son engin pour m’empaler ...