COLLECTION ESCORTE. Rattrapée par mon passé (2/3)
Datte: 20/07/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... ça semble naturel.
Quand je rentre à Paris, Madame crédite mon compte d’un minimum de 40 000 €, si je calcule les frais engagés, c’est au moins 50 000 € que ce gros porc doit lui donner.
Question sexe, je suis l’une des meilleures pour faire éjaculer mes clients et mettre en exergue tous les travers qu’ils peuvent avoir. Sur les cinq à six fois par mois que je vais à un rendez-vous, j’en rencontre un, dont mon taré que j’adore.
Quand il arrive, je suis en bottes de cuir, gants montant jusqu’au poignet en même matière, ainsi qu’une guêpière montrant ma chatte que Madame m’a fait épiler au laser.
Quand il arrive, dès qu’il a franchi la porte, je l’attrape par sa cravate, je le tire vers moi, je l’insulte, lui reprochant de n'avoir pas été sage, je le frappe avec ma main libre avant d’ouvrir sa braguette et sortir sa verge que je masturbe jusqu’à ce qu’il décharge sur moi.
Je l’insulte une nouvelle fois, car il n’a pas su se retenir, je lâche la cravate et lui impose de partir n’ayant pas été gentil.
Je vais à Turin pour cela, ça fait onze mois que Madame me donne 2 000 € pour ce moment hors du temps.
Julien le chauffeur de Madame, un jour alors que je travaillais mes examens, a débarqué pour m’apporter mon passeport après avoir été chercher un visa pour la Russie où je devais retrouver un nouveau riche dans le pétrole.
Nous avons bu un cocktail et il m’a couché sur mon canapé.
Pour la première fois depuis le lycée, je me laisse faire sans toucher le ...
... moindre centime d’euro.
Depuis ce premier soir, nous baisons régulièrement, à une allusion qu’elle a faite, je sais que Madame sait ce que nous faisons, mais comme je repars sans rechigner dans l’un des palaces parisiens où un émir lui aussi ne veut que moi, elle se tait.
Un soir, à quelques jours de mon examen de fin d’étude me permettant d’accéder au monde du travail que je qualifierais de normal si tant et que vendre son cul pour de l’argent ne l’est pas, je suis invitée à une soirée de potaches chez un garçon dont la famille a du bien.
Aucune des personnes présentes ne sachant le travail parallèle que je pratique, je m’y rends.
Je m’aperçois qu’un camarade de cours qui se tenait à l’autre bout de l’amphithéâtre vient dialoguer avec moi.
Au début, de ma part, c’est comme un jeu de lui faire croire que je suis une petite fille sage et que j’aspire à devenir la bonne petite bourgeoise qu’il semble vouloir trouver.
Je le manipule toute la soirée le faisant baver d’envie, ce grand dadais surement puceau ne me lâche pas, je suis un peu frustrée car mon téléphone vibre plusieurs fois.
Je me rends aux toilettes pour m’apercevoir que Julien m’envoie des messages, qu’il est libre et qu’il aimerait monter à mon appartement.
Quand j’ai commencé ma relation de travail avec Madame, le mensonge m’était inconnu.
Depuis, pour garder mon secret et continuer à engranger des euros, je me suis bien rattrapée. Encore là je lui envoie un SMS.
« Désolé, je passe la ...