1. Pari perdu - 1 -


    Datte: 20/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Auteur: jack64410, Source: xHamster

    Pari perdu - 1 -
    
    — Je te dis qu’il a été assassiné en 1612. Affirmai je , péremptoire.
    
    — Tu te trompes mon amour, c’est en 1610. Rétorqua ma femme amusée.
    
    — On parie ?
    
    — Ce que tu veux, mais tu vas perdre !
    
    Je réfléchis 10 seconde. J’étais tellement sur de moi …
    
    — Celui qui perd sera soumis pendant un mois .
    
    — D’accord Mamour . Me sourit elle.
    
    5 minutes plus tard, j’étais à ses pieds, son obéissant sujet pour les 30 jours suivants, Ravaillac m’avait perdu.
    
    Nous avions déjà joué à ces jeux, avec un plaisir partagé , mais jamais sur un si long temps. La trentaine, échangistes, libérés, libertins, nous avions peu de tabous et nous avions exploré pas mal de facettes du plaisir , qu’il soit pluriel, sage ou quelque peu déviant.
    
    Nous détestions la douleur, donnée ou reçue , et , pour nous, le terme soumission signifiait surtout contraintes librement consenties, humiliations souriantes et gentilles perversions.
    
    Le lendemain Béa revint le soir affichant un air mystérieux..
    
    — Bonsoir mon soumis. Me fit elle .
    
    — Bonsoir ma Maîtresse. Tu m’as l’air bien enjouée.
    
    — Oui, j’ai un petit cadeau pour toi.
    
    Elle me tendit un paquet que je m’empressai d’ouvrir pour découvrir une cage de chasteté rutilante de chrome brillant.
    
    Amusé mais excité également, je m’autorisai un « Maîtresse est trop bonne » accompagné d’un baise main qui nous fit rire de bon coeur.
    
    — Qu’attends tu pour aller l’essayer ?
    
    Quelques minutes plus tard , j’appelai mon ...
    ... épouse.
    
    Elle me découvrit nu sur le lit, en pleine érection, l’engin à côté de moi.
    
    — Je n’y arrive pas….
    
    Naïvement , je pensai qu’elle me soulagerait, de sa bouche ou de ses mains ….
    
    Elle tourna les talons sans dire un mot et revint avec une poche de glaçons tout droit sortie du congélateur.
    
    Le froid me fit perdre de ma superbe et l’affaire fut bouclée en un instant.
    
    Elle me fit me lever et me planta devant un miroir.
    
    — Tu as tout intérêt à t’y habituer, un mois c’est long…
    
    Je ne crus pas un instant à cette menace. Elle ne pourrait jamais tenir 30 jours sans goûter mon sexe, sans le sentir en elle, sans que je lui apporte les fréquents orgasmes auxquels elle était habituée.
    
    Elle devina mes pensées…
    
    — Ne fais pas le fanfaron ! Me dit elle en accrochant la petite clé du cadenas à la chaîne d’or qu’elle portait à son cou.
    
    Je passai une nuit fort inconfortable, gêné par mon nouveau bijou. Le lendemain matin, c’est une forte douleur provoquée par une érection nocturne habituelle qui me réveilla de bon matin.
    
    Comme la veille au soir, je me rendis compte qu’il me fallait m’assoir sur le siège pour satisfaire à un besoin naturel.
    
    Béa sourit quand je lui racontai mes tourments.
    
    — Mon pauvre chéri . Ne trouva t elle qu’à me dire .
    
    Elle réclama un câlin . Je frétillai déjà .. Je dus vite déchanter..
    
    Je dus me contenter de la faire jouir en utilisant et ma langue et mes doigts, chose que je fis très bien mais qui me laissa, contrairement à ...
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