1. Première anal


    Datte: 20/07/2018, Catégories: Anal Lesbienne Auteur: PatriciaHaas, Source: xHamster

    Je m'appelle Patricia, divorcée deux enfants, et sans me vanter, assez jolie.
    
    Je me retrouve seule et, malgré mes caresses intimes, mes nuits sont de plus en plus longues. J'ai besoin de sexe, et avec toute ma volonté ne parviens pas à me satisfaire en solitaire.
    
    Mais je n'arrivais pas à franchir le pas, à aborder un inconnu pour lui proposer de me baiser.
    
    C'est alors que Sandrine m'est apparue, ou plutôt réapparue.
    
    Je l'ai connue il y a quelques années. On était étudiantes, en collocation, avec chacune son lit.
    
    Après une soirée bien arrosée, on s'est retrouvée dans les mêmes draps, et on a fait l'amour entre filles.
    
    Le lendemain j'étais un peu honteuse, mais elle ma persuadée qu'il n'y avait aucun mal à cela, et on a recommencé jusqu'à ne plus s'en passer.
    
    Elle avait un an de plus que moi, et quand elle a fini ses études, il me restait une année à faire. On s'est perdue de vue.
    
    Je repense à elle, j'ai envie d'elle, qui m'a si bien aimée.
    
    Je la retrouve grâce à internet, il me faut oser l'appeler.
    
    Je me masturbe en buvant un apéritif pour m'encourager, et compose son numéro.
    
    Elle décroche et je suis toute tremblante. Mais je n'ai rien à perdre, et l'alcool aidant, je lui dis clairement le but de mon appel, après avoir échangé quelques mots de retrouvailles.
    
    Elle habite près de chez moi, est célibataire, lesbienne à 100%, et très heureuse de mon appel. Elle ne peut malheureusement pas me recevoir en tête en tête, car elle attend une copine ...
    ... avec qui s'envoyer en l'air. Il n'y a que du sexe entre elles, pas de sentiments profonds, et elle me propose de les rejoindre pour une partie à trois.
    
    Je donne mon accord sans réfléchir, poussée par le feu qui brûle en mon ventre.
    
    J'ai son adresse et suis chez elle moins d'une heure plus tard.
    
    Elle referme la porte derrière moi, et je la vois entièrement nue, en toute impudeur. C'est vrai que l'on a été très intimes et qu'elle n'a pas à se gêner d'autant que ma venue n'est pas innocente.
    
    Je la regarde, bouche bée. Je me souviens il y a dix ans d'une jolie fille, mince, bien faîte. Aujourd'hui elle est vraiment belle, un peu plus en chair sans être grosse, délicieusement plantureuse, et les démons Lesbos me reprennent. Elle me prend dans ses bras, me donne un chaud baiser, je mouille.
    
    Je la suis dans sa chambre où nous attend sa copine.
    
    Elle nous tourne le dos, à quatre pattes sur le lit, avec un gode planté entre les fesses.
    
    Sandrine la rejoint, sans même me la présenter. Elle se saisit de cette fausse queue, et la ramone tout en m'invitant à me déshabiller.
    
    Je ne perds pas une miette du spectacle: après l'avoir bien limée, elle retire le gode, un superbe engin plus gros et plus long que le sexe de mon ex époux.
    
    Elle le suce, penche la tête en arrière, et l'enfonce jusque dans sa gorge. Puis elle le ressort et lèche le cul de sa partenaire.
    
    Un cul ouvert comme pas possible et dans lequel elle enfouit sa langue. Je ne peux détacher mon regard, ...
«123»