1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1262)


    Datte: 19/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... perverse et sadique et elle le revendique haut et fort, sans aucun complexe et d’ailleurs je cautionne cette réalité sans problème en lui laissant exprimer son sadisme mais avec un garde-fou clair et incontournable : Ne jamais faire saigner un soumis ou une soumise, ne jamais lui laisser des séquelles indélébiles. Mais toi, soit franche, as-tu aimé ses traitements ?
    
    - J’avoue avoir ressenti mon intimité s’humidifier à chacun de ses traitements qu’elle m’a fait subir. Mais ce que je suis certaine, c’est que je pensais qu’à une seule chose durant ceux-ci, c’est que c’est de Votre Volonté qu’elle puisse agir ainsi et donc Vous satisfaire m’excitait grandement à humidifier mon sexe plus que la douleur ressentie…
    
    - Une forme de ‘masochisme de dévotion’ en quelque sorte …
    
    - Oui Maître, pour Vous, je suis prête à tout supporter les yeux fermés car je sais que Vous ne me ferez jamais mal à me laisser des séquelles indélébiles, comme Vous le dites si justement.
    
    Le Noble sourit, Il termine de la savonner, puis lui tend l’éponge qu’elle saisit sans trop savoir quoi faire.
    
    - Allons, à toi de me savonner !
    
    - Mer…Merci, Maître de cet honneur, dit-elle la voix tremblante tout en passant délicatement l’éponge sur le corps du Noble.
    
    Une fois la tâche terminée, elle s’agenouille, tendant l’éponge à Monsieur le Marquis. Il la range, coupe l’eau, sort de la douche, et ordonne à Vanessa de le sécher, ce qu’elle fait avec précaution et consciente de ce privilège. Puis il lui ...
    ... tend une serviette pour qu’elle fasse de même sur son propre corps. Elle s’exécute promptement, puis patiente à genoux, les mains dans le dos. Le Noble prend sa main, la relève, puis lui tend son collier, elle commence à le passer mais Il l’arrête.
    
    - Une prochaine fois car il est temps pour Vanessa de rentrer chez elle. J’espère que ce court séjour aura permis de répondre aux questions que tu te posais.
    
    - Oui Maître, merci infiniment.
    
    - Je n’offre jamais rien…, commence-t-Il laissant un blanc.
    
    - …qui ne soit mérité, termine la jeune femme souriante.
    
    Vanessa s’incline puis quitte la pièce, son collier à la main, allant rejoindre sa voiture. Là elle s’habille et reprend la route. Arrivée chez elle, Laurent n’est pas encore parti au travail, il l’accueille en l’embrassant amoureusement, mais passant ses mains sous la jupe de la jeune femme il remarque les traces laissées par la badine de Marie. D’un geste il relève la jupe pour découvrir le fessier violacé de sa compagne. Il prend un air sérieux, presque déçu, et lui demande.
    
    - Est-ce l’œuvre d’Edouard ? Qu’as-tu fait pour mériter un tel traitement ?, accuse-t-il.
    
    - Non, de Madame Marie.
    
    - Tu as cassé de la vaisselle durant le service ?
    
    - Non, Monsieur Le Marquis m’a offerte à elle pour la nuit. Elle a voulu tester ma détermination et laisser exprimer son sadisme.
    
    - Hum, c’est fortement appuyé, mon ami a approuvé ça ?
    
    - Mon chéri, tu t’inquiètes trop, lui répond-t-elle en l’embrassant. Ne me dis ...
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