1. Camille. (3)


    Datte: 19/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... qu’elle dégage est animale, envoûtante. Elle se penche en ouvrant la bouche.
    
    — Doucement, bébé, tu as tout ton temps. Pense à ton plaisir avant le mien.
    
    Elle a compris, et me lèche depuis les couilles jusqu’au gland. Elle y met tout son cœur en fermant les yeux. Je lui mets une petite tape sur la joue.
    
    — Il faut que tu provoques ton partenaire... Regarde-moi.
    
    Elle s’applique, gémit de sa caresse buccale. Elle écarte ses fesses, Camille est en train de lui bouffer son fruit, la petite salope. Je subis ce léchouillage avec un plaisir grandissant. Elle joue avec mon prépuce, mon frein et mon méat. Sa petite langue rose fluo cherche que mon plaisir, je suis tenté de fermer les yeux, mais je tiens bon. Je la regarde droit dans les yeux.
    
    Camille, pas jalouse, veut m’offrir à sa copine. Elle la lève par les fesses, la positionne face à ma bite et appuie sur ses épaules. Le bonheur, l’extase à l’état pur quand elle se retrouve empalée sur mon sexe, pubis contre pubis. La petite négresse a eu juste un petit feulement. Camille vient m’embrasser. Je commence un lent va-et-vient. Gény se positionne accroupie sur moi. Je peux voir son sexe rose se dilater sur ma bite. Mon Dieu que c’est bon. Que dire de la douceur de ses fesses... Je rêve... Mais les cris conjugués de mes deux petites risquent de réveiller nos retraités et leurs petits enfants. Je fouille derrière l’oreiller et trouve le bâillon boule. Je le donne à Camille. Elle a compris et me sourit.
    
    Une fois ...
    ... contrainte, Gény s’en donne à cœur joie. Si ce n’est pas ses râles que l’on entend, c’est nos pubis qui claquent. Je demande à Camille de se mettre à califourchon sur ma tête. J’ai la queue et la langue bien occupées.
    
    J’ai envie d’entendre gueuler Gény, je me contente du bruit de sa respiration. Elle m’inonde d’un nectar qui m’enivre. Dans la petite avancée, ça pue le sexe. Camille jouit, suivit de Gény qui s’affale, épuisée. Pas très endurante les petites pisseuses.
    
    Elles viennent contre moi, une de chaque côté. Elles me caressent.
    
    — Alors ! Elle est bonne ?
    
    — Oh que oui ! Un sacré morceau. C’est bien qu’il se l’est rasée. C’est doux et on la sent mieux.
    
    Elles m’embrassent tour à tour tout en jouant avec Popol qui ne s’est pas couché. J’ai un bras sur leurs seins, je peux comparer. Je dois avouer que je préfère ceux de la blackette. Elle doit faire un bon bonnet C, ils sont ronds et fermes. Ils sont ornés d’un mamelon et d’un téton sensible, si j’en crois les gémissements. Ceux de Camille, vous le savez déjà. Petits, quasi inexistants, mais avec des tétons énormes et ils sont hypersensibles et bandent au premier effleurement. J’aime leurs seins. Ils sont différents, mais je les aime.
    
    J’ai envie d’un second round, mais pas sous la tente. Je suis frustré qu’elles ne puissent s’exprimer. On s’habille, à leur grand étonnement. Je prends ma serviette de bain et on monte en voiture.
    
    — Parrain, on va où...
    
    — Baiser sans contrainte.
    
    On arrive sur un petit chemin ...