1. Emeline


    Datte: 19/07/2018, Catégories: ff, jeunes, amour, volupté, massage, Oral fgode, fdanus, yeuxbandés, init, Auteur: Julien.infini, Source: Revebebe

    ... mes hanches sensuelles et de ma poitrine dont elle trouvait la silhouette plus jolie que la sienne. Tout ceci nous a bien amusées et, cette nuit-là, nous nous sommes endormies un sourire aux lèvres.
    
    Avant de sortir, Emeline me dit qu’elle veut prendre une douche, elle commence à ôter ses vêtements, devant moi, dans la spacieuse salle de bain aux nombreux miroirs, et bientôt, je peux compter 4 ou 5 Emeline, nues, qui referment la porte vitrée de la cabine de douche. Je pense : « Elle est toujours aussi belle. » Je me concentre sur mon maquillage. J’entends le bruit de l’eau qui frappe contre les parois de la douche. « Etrange, me dis-je, qu’elle ait toujours refusé de me parler de ses conquêtes. Moi, je lui racontais toutes les miennes, même peu glorieuses. Ça avait l’air de l’amuser. » Lorsque Emeline ressort, je suis déjà prête. Me voilà glissée dans mon pantalon noir, moulant, spécial « boîtes », taille basse, avec un petit top noir dos nu, style « cœur croisé », qui cache juste ce qu’il faut et laisse mes hanches, mon dos et mon ventre libre. « Alors, prête à faire des ravages ? » me lance Emeline. Je lui souris. Elle sait que je suis seule depuis deux mois et que la présence et la chaleur d’un corps me manquent. Elle se glisse dans une robe noire, courte, assez décolletée, et dos nu. Une paire d’escarpins à talons aux pieds, et nous voilà parties.
    
    Lorsque la porte du duplex se referme derrière nous, nous sommes exténuées. Il est trois heures de matin. Nous avons ...
    ... dansé toute la nuit. Nous abandonnons nos chaussures et pieds nus, nous nous dirigeons vers la cuisine pour dévaliser le réfrigérateur. Là, au cours d’un solide encas, nous commençons à discuter de la soirée.
    
    — Il était lourd le gars au bar…
    — Oh, j’ai jamais vu ça. Un gros naze…
    — J’étais morte de rire quand tu lui as sorti qu’on était en couple pour le faire partir.
    — Oui, sauf qu’il a insisté.
    — Jusqu’à ce que tu fasses semblant de m’embrasser, me lança Emeline, les yeux en feu.
    — Oui, là, il a vraiment cru qu’on était ensemble.
    — Ça ne m’a pas déplu, d’ailleurs…
    
    Et là, encore, mon regard croise le sien qui brille d’une lueur étrange, comme jamais auparavant. « Sûrement l’excitation de la soirée. »
    
    — Enfin, on s’est bien amusée.
    — Oui, ça faisait longtemps.
    — Mais je ne t’ai toujours pas offert mon cadeau.
    — Non c’est vrai, je suis curieuse de savoir ce que tu as choisi…
    — Devine !
    — Hum… parfum ?
    — Non.
    — Vêtement ?
    — Non.
    — Un petit bijou ?
    — Non plus. Plus personnel.
    
    Là, un long silence, je cherche, mais je ne trouve pas, peut-être mon esprit est-il embrumé par l’heure tardive ou les deux ou trois cocktails pris en boîte.
    
    — Tu donnes ta langue au chat ? me lance Emeline, d’un air coquin.
    — Ma foi… oui.
    
    Sur ce, le dîner fini, elle se lève, et va prendre un objet que je ne vois pas. Elle repasse derrière moi.
    
    — Maintenant, laisse-toi faire, voilà ton cadeau.
    
    Sur ce, elle m’applique délicatement un bandeau en soie noire devant les ...
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