Un Week-end D'enfer
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bytehoula, Source: Literotica
... doucement et ressortir. Je sentais ses mouvements dans les profondeurs de mes chairs, il prenait son temps et moi je sentais le plaisir naître des extrémités de mes orteils et longer mon corps comme une bande de fourmis envahissantes, je le sentais inexorablement venir et monter sans trop savoir comment il exploserait. Je commençais à être prise de tremblements incontrôlés, mes jambes en coton me supportaient à peine, mes oreilles se mirent à bourdonner et je me sentais prête à exploser lorsque je sentis ses va et vient s’accélérer, Il me tenait par les hanches, gémissant de plus en plus fort et cela contribuait à me rendre de plus en plus folle. Au moment ou je le sentis exploser au fond de moi milles pétards explosèrent en moi. Je venais d’atteindre des sommets encore inexplorés de l’extase. Maurem s’affala sur moi et nous dûmes presque nous traîner sur le lit… pour reprendre notre souffle. J’essayais de me souvenir de ce qui s’était passé, mais pendant de longues minutes, mon esprit demeura embué par le plaisir. Je m’assoupi quelques instants plus tard…
Je fus réveillée par une douleur atroce au niveau du bassin. Elle me tenaillait le sexe et m’empêchait de bouger. Malgré tous mes efforts, je ne parvenais pas à faire le moindre geste. Pendant de longues minutes, je restai là incapable de bouger sous le regard effaré de Maurem.
L’heure du départ de mon autobus arrivait et j’étais toujours là. Il m’était impossible de rentrer chez moi, j’étais censée avoir pris ...
... l’autobus depuis des heures. Maurem ne pouvait non plus rester avec moi: sa femme devait déjà l’attendre.
Au prix d’un effort surhumain, nous pûmes arriver à la station où j’empruntais péniblement l’autobus. J’avais beau me demander ce qui avait pu se passer, je ne trouvais aucune explication plausible.
Au bout d’un voyage proche du calvaire, je me retrouvais à mon hôtel. J’allais immédiatement au lit en priant que la douleur le matin ne fasse plus partie que d’un triste souvenir! Malheureusement je passais une nuit blanche, la douleur avait envahi mon ventre entier, m’empêchant de faire le moindre mouvement. Je restais au lit toute la journée espérant que j’irais mieux après avoir avalé quelques cachets. Rien n’y fit, en début de soirée, je décidais de me rendre chez un gynéco. Dans cette banlieue inconnue, il me fallait à tout prix dénicher un gynécologue. Le gérant de l’hôtel me donna quelques adresses. J’en choisis un, espérant qu’il pourrait me recevoir.
Les formalités remplies, je dus attendre quelques minutes. J’étais assez angoissée, non seulement par cette douleur inexplicable, mais aussi par la peur de tomber sur un gynécologue affreux. J’étais dans mes réflexions lorsqu’une porte s’ouvrit sur un monsieur à la blouse blanche, la quarantaine bien entamée, cheveux grisonnants : 1 mètre 85 environ, le torse large, involontairement je regardais ses mains, de belles mains grandes et fines. Je me sentis immédiatement rassurée et lorsqu’il me fit un grand sourire de ...