1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1007)


    Datte: 29/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... lorsque Walter vint me secouer. Il me fit descendre du coffre. Je sentais la fraicheur de l’air. Il m’enleva le bandeau. Nous étions sur une aire de repos d’autoroute. Il faisait encore nuit…
    
    - Eh bien, eh bien ! J’espère que tes saletés ne tacheront pas le tissu de ce magnifique tailleur que Monsieur le Marquis a bien voulu te donner pour cette sortie, sinon il y a fort à parier que même pour tes sorties extérieures tu seras amenée à rester nue si tu n’es pas capable de prendre soin de ce que l’on veut bien te prêter… Bien, ce n’est pas pour cela que nous nous sommes arrêtés. Il faut que je fasse le plein du réservoir de la voiture. Comme tu peux le voir, la station est un peu plus loin. Là nous sommes au niveau de l’aire de pique-nique. Tu vas te déshabiller, et je vais t’attacher à un de ces arbres. Je vais également mettre une pancarte devant toi « Vous pouvez faire ce que vous voulez de moi tant que ça ne marque pas. Ordre du Maître qui me soumet, Monsieur le Marquis d’Evans, et qui vous fait ce petit cadeau gracieusement ». Tu devras bien évidemment faire tout ce qu’on exigera de toi. Je vais aussi en profiter pour prendre un café. Nous avons encore de la route à faire. Maintenant que j’ai eu la bonté de t’expliquer un peu ce qui t’attendait, fais ce que je t’ai ordonné !
    
    Je rougis. Bien que cela fasse un moment maintenant que j’étais la propriété de Monsieur le Marquis d’Evans, les situations comme celle-ci en public vanille me faisaient toujours monter un ...
    ... peu de rouge aux joues. Toutefois, mon éducation était bien ancrée en moi, et il ne me serait pas venu à l’esprit d’avoir la moindre hésitation ! Je me déshabillais donc entièrement, ce qui fut rapide, et m’approcha à quatre pattes près du Majordome, qui d’un geste du doigt, me fit comprendre que je devais me mettre à genoux.
    
    - Fais le beau !
    
    Je relevais alors la tête, tout en gardant les yeux baissés, et montais mes deux mains, coudes pliés, au niveau de mon visage, et ouvrant la bouche et tirant la langue, je haletais comme une chienne avant de japper doucement. Walter s’approcha un peu plus et me caressa la tête avec un :
    
    - Bonne chienne
    
    Ce qui me fit frémir de plaisir. Puis il passa mon collier et ma laisse. Il me posa des pinces à mes tétons après les avoir pincés, étirer et vriller, ainsi qu’à mes lèvres intimes. Elles étaient toutes les quatre reliées entre elles par une chaîne. Il passa alors une main entre mes cuisses, et sourit sadiquement en constatant l’humidité accrue qui s’y cachait. Il retira alors l’œuf de ma chatte et me le fourra dans la bouche. Il me flatta à nouveau le crâne, puis il donna une impulsion dans la laisse pour que je reprenne ma position en quadrupédie et que je le suive. Il m’emmena vers les arbres, me fit pisser contre l’un d’eux et m’attacha à un autre comme il m’en avait prévenu. Il avait emmené avec lui la pancarte qu’il posa non loin de moi. Je devais rester à genoux, cuisses écartées, mains dans le dos. Il s’éloigna avec la ...