Une descente aux enfers (2)
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Fantasme 13, Source: Xstory
... répondit non dans un souffle discret.
— On verra.
Ensuite il la fit mettre à genoux pour se faire sucer, il prit son temps, il avait réglé les opérations si l’on peut dire, elle devait d’abord elle-même défaire sa braguette et sortir son sexe déjà à moitié dur, ensuite elle se mettait à genoux pour le branler doucement en lui léchant les couilles, puis elle devait faire des lippes en remontant des couilles au gland, il était alors raide comme un bâton. Enfin après les préliminaires si l’on peut dire, elle prenait son gros sexe en bouche et là elle devait bien serrer les lèvres pour qu’il sente mieux ses lèvres, il lui tenait la nuque pour imprimer son rythme en alternant, parfois plus rapide parfois plus lent, parfois il retirait son sexe pour le lui faire lécher du gland aux couilles puis le lui remettait en bouche, souvent il caressait ses cheveux délicatement ou lui donnait de légères petites tapes sur les joues pour exprimer sa satisfaction, enfin quand il sentait la jouissance venir il appuyait plus fort avec les deux mains pour qu’elle prenne le sexe au plus profond de sa gorge, elle toussotait en s’étouffant, puis dans un soupir rauque il se déchargeait, il restait un long moment comme ça, jusqu’à ce que son pénis ramollisse puis se retirait se contentant de lui dire, « c’est bien », son sperme dégoulinant sur le bord de ses lèvres elle sortait un Kleenex.
Il s’asseyait alors un peu plus loin pour griller une cigarette, mais étant un garçon très viril il ...
... rebandait vite, alors quand il se sentait à nouveau vigoureux, il la couchait sur le petit matelas qui leur servait de lit pour la pénétrer, d’abord doucement, presque tendrement de façon classique, « à la missionnaire » comme on dit, il caressait ses longs cheveux blonds lui déposant parfois un petit bisou sur le bout du nez, puis d’un coup il se retirait, la retournait et sans ménagement la prenait en levrette, il lui tenait alors fermement les hanches de ses mains puissantes et la torpillait dans un rythme rapide, elle soufflait très fort, son visage grimaçait mais son souffle était celui du plaisir... Elle n’arrivait pas à se l’avouer à elle-même... Ils étaient là dans une cave et elle prenait du plaisir à se faire... baiser...
Ensuite elle rentrait chez elle triste, sa mère lui demandait si la soirée au resto s’était bien passée, elle lui disait que oui en agrémentant sa réponse de détails inventés pour être plus crédible. Justine avait aussi appris à mentir... Quand elle se glissait dans sa couette, souvent une petite larme coulait sur sa joue, comment se faisait-il qu’elle ait du plaisir à se faire prendre comme une chienne ? Elle avait fini par se « libérer » et par accepter sa nouvelle condition.
Les week-ends étaient les bienvenus quand Momo l’amenait au cinéma puis au restaurant. Là il changeait, il lui racontait des blagues, il était souriant ça la rassurait, elle lui était reconnaissante de ce qu’il faisait pour elle, de lui permettre de s’habiller mode, d’aller ...