Le peintre et sa muse chapitre 16
Datte: 19/07/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Le relieur, Source: Hds
... tendus au point d’en être douloureux, pour s’échouer sur sa grotte barattée par la grosse tige infatigable d’Aziz en passant par son bouton d’amour qu’elle ne peut se retenir de caresser.
Annie s’écroule sur le lit, Aziz la suit dans son mouvement, toujours planté dans la vulve qui palpite expulsant son plaisir sur ses bourses velues.
Annie noyée dans son plaisir comme sur une autre planète ne sent même pas Aziz qui lui décharge sa semence au fond du ventre.
Quelques heures plus tard c’est le soleil à travers les rideaux qu réveille Annie, elle se sent comme broyée elle a l’impression d’être passée dans une machine à laver.
Son entre cuisses est trempé, le drap colle sous ses fesses et sa vulve est ultra sensible, elle décide de se lever et d’aller prendre une bonne douche pour se remettre les idées en place après cet
après midi torride et la nuit plus que mouvementée qu’elle vient de passer.
En passant dans le couloir elle entend du bruit dans la chambre d’amis elle pousse la porte prudemment craignant de trouver Pedro ou Lissendro, mais non derrière la porte c’est Aziz qui vient de finir le peu de travail qui restait à faire et il est en train de ranger le matériel, il est nu
ses vêtements sont encore au rez-de-chaussée il ne laisse pas le temps à Annie
de s’échapper ; il la prend à bras le corps puis il a reprend sous les cuisses et il l’empale sur sa grosse queue, et une dernière fois il fait subir à Annie un accouplement hors normes pour elle, ...
... dilatant à nouveau les chairs ultra sensibilisées, mais rapidement la cyprine aidant la douleur fait place à quelque chose de diffus mais qui monte lentement du fond du ventre d’Annie qui
n’est pas encore du plaisir mais qui n’est déjà plus douloureux.
Et quand Aziz aspire entre ses lèvres un des tétons dardé, Annie se déchaîne elle s’agite sans retenue sur le mandrin qui la rempli qui lui échauffe les muqueuses et tape furieusement la matrice à la recherche d’un ultime plaisir elle veut à nouveau jouir, sentir la semence du mâle inonder son
ventre, entrer dans sa matrice afin qu’elle garde plus longtemps le jus brûlant.
L’agitation forcenée d’Annie entraîne le plaisir du peintre, qui se déverse copieusement dans le vagin qui sous la jouissance de la femelle est en train de lui extraire le maximum de semence, et tous les deux sont en nage, et enfin le pénis perd de sa vigueur et dans un flop sort du vagin comme
on débouche une bouteille le mélange de leur plaisir coule sur le plancher de la chambre, Aziz repose Annie qui après un long baiser, gagne la salle de bain pour prendre un bon bain chaud plutôt qu’une douche.
Quand au bout d’un moment Annie sort de la salle de bain après avoir passé un peignoir, la maison est silencieuse, elle repasse par les chambres de leurs exploits mais personne, arrivée dans la cuisine elle trouve sur la table les clés de la maison avec un petit papier avec un numéro de téléphone signé Aziz.
Alors elle se dit aujourd’hui journée ...