COLLECTION ZONE ROUGE. Poupette. Saison IV (35/36)
Datte: 18/07/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Je me suis fait dépuceler par Bill, garçon blanc pour éviter que ce soit mon beau-père qui me passe à la casserole.
Il est loin ce temps, si je me retourne, il y a eu un véritable fleuve qui a coulé.
C’était dans une Buick, comme en ce moment où je viens de sucer un autre Bill, noir lui qui a accepté de m’amener en stop pour me conduire chez mes parents où je veux être si Tex le flic vient me réveiller.
Je suis déjà là-bas, du moins ma robe de mariée amenée par Johnny Belle Gueule alors que j’ai ses fringues trop grandes pour moi afin de tromper le poulet.
- Ah ! Ah !
- Tu vois tu n’es pas perdant, attends, je te nettoie mieux la bite, il ne faudrait pas que ta femme ait des doutes sur ta fidélité.
Du sperme, un homme blanc ou noir éjacule le même, combien de litres en ai-je avalés quand j’étais à Vegas, c’est identique pour le sang.
Je récupère ma mallette, je l’ouvre sans qu’il puisse voir ce qu’elle contient.
Il est gentil, mais inutile de le tenter en me piquant les lingots d’or et l’argent que j’y ai mis.
Je la referme et mets le code de sécurité, impossible de l’ouvrir je le saurais.
- Voilà 100 $, je te les donne si tu me rends un autre service.
- J’ai eu assez de remerciement avec cette pipe royale, il fut vraiment que je rentre chez moi.
- As-tu du papier et un crayon ?
- Dans ma boîte à gants.
- Note ton numéro de téléphone.
- Le fixe ou mon portable ?
- Le fixe et j’appelle, je tombe sur ta femme et elle a des doutes ...
... sur ta fidélité.
Non, le portable soit moi soit un homme qui te donnera comme mot de reconnaissance « sénateur » te contactera.
Vous vous mettrez d’accord et tu lui remettras cette mallette que je cache sous ton siège.
Je te rappelle, elle appartient à un mafioso à qui je l’ai volé, à part ces 100 $ que je t’ai donné, il y a simplement des documents pouvant le faire plonger.
Surtout ne l’ouvre pas.
Il me donne son numéro de portable semblant n’être pas trop rassuré.
Je sors sans demander mon reste ne lui laissant pas le temps d’avoir des états d’âme.
Dès qu’il a démarré et tourné le coin, j’essaye de passer par-dessus la clôture de la grand-mère Marie que je connais depuis qu’on s’est installé dans notre maison.
Les fringues m’entravent, j’ôte mon pantalon sans pudeur et je passe la palissade de bois.
Je cours à travers les carottes.
Je refais l’opération de l’autre côté me retrouvant dans notre jardin en friche.
Il a toujours été en friche, Bob ne pouvant pas se droguer et jardiner.
La porte de la buanderie est bien ouverte.
Je vais dans ma chambre pensant trouver Cristopher, c’est là que je lui ai dit de ce coucher.
Je sens le canon d’un revolver dans mon dos.
- Pardon madame Claudia, j’ai eu peur que ce ne soit un cambrioleur.
- Où étais-tu passé, tu devais dormir dans ce lit.
- Je ne me souvenais plus, je dormais dans le grand lit dans l’autre chambre.
- C’était celle de mes parents, c’est moi qui suis censé y dormir ...