Ma balade en forêt
Datte: 17/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jean-Pierre, Source: Hds
... son jus. Elle a un sursaut au contact de ma langue avec son anus. Je lui titille l’anus avec ma langue, l’enfonce le plus possible.
- Oui, j’aime, c’est la première fois, qu’on me lèche le cul, c’est bon, j’ai joui.
Je repose ses jambes sur l’herbe et viens m’étendre à côté d’elle. Elle se tourne vers moi et m’enlace en posant sa tête sur mon épaule.
- Tu as déjà fait l’amour à une femme par-là?
- Que veux-tu dire ?
- As-tu déjà sodomisé une femme ?
- Oui ! Il n’y a rien de cochon dans l’amour !
- Tu veux bien m’initier ?
- Tu ne crois pas que tu vas un peu vite ?
- Je suis là avec toi, on se rencontre par hasard, on se reconnait, tu es nu au milieu d’une clairière, je me mets nue pour être comme toi, on fait l’amour ensemble.
- Ok, mais, il va falloir attendre un peu que je recharge mes batterie, avant de me mettre en forme.
Elle se penche sur moi ! Sa bouche arrive sur mon sexe qui commence doucement à se redresser. Elle le gobe, le suce, l’aspire jusqu’à ce qu’il soit raide. Pendant ce temps, je lui enduis le fion d’huile solaire et lui enfonce deux doigts dans l’anus. Je surveille ses réactions mais elle se laisse faire sans avoir de sensations douloureuses.
- Ça va ?
- Oui, continue, mais doucement.
Comprenant son désir, j’accélère la cadence, je sens des doigts sur sa vulve, elle se masturbe en même temps qu’elle se fait sodomiser. Elle se crispe et se détend vite, elle finit par se laisser tomber par terre en se retournant sur ...
... le dos. Elle a les yeux fermés et un sourire illumine son visage. Nous restons ainsi un bon quart d’heure, à tel point que je commence à m’endormir lorsque Paulette se redresse et vient se coucher à côté de moi.
- Tout va bien ?
- Oui, parfaitement, je viens de passer des moments inoubliables.
- Il est peut-être temps de rentrer, tu ne penses pas ?
- Oui.
Nous nous rhabillons ! Arrivés à nos voitures, Paulette me prend la main.
- Tu ne voudrais pas venir chez moi, j’habite dans la ferme de mes parents.
- Ok, quand es-tu libre ?
- Si toi tu l’es, je le suis maintenant.
- Je te suis.
Je la suis jusqu’à chez elle. La maison est toujours une superbe demeure. Nous nous installons dans le salon. Paulette me sert un verre de soda et monte à l’étage.
- Un instant, je vais me changer.
Au bout de quelques instants, elle redescend habillée d’une djellaba transparente qui ne cache rien de sa nudité. Elle est magnifique.
- j’ai enfilé ça car je ne supporte pas les vêtements, je suis toujours à poil chez moi.
-Décidément, oui, nous étions fait pour nous entendre, moi aussi je ne supporte pas les vêtements, je suis naturiste.
-Je n’ai jamais essayé, je pense que ça me plairait.
-J’en suis sûre.
- Quel dommage que nous n’ayons jamais pu vivre ensemble, je crois que nous nous serions complètement éclaté de sexe.
- Oui, mais tu sais très bien qu’au bout d’un temps plus ou moins long, la libido se calme et que les relations deviennent plus ...