1. "Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (12)


    Datte: 17/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... très libidineuse devant eux, voilà de quoi mettre tous les esprits en ébullition !
    
    Fabrice avait le regard qui allait de l’exposition du sexe d’Anne, avec ses lèvres bien gonflées, son clitoris très rouge qui montrait “le bout de son nez”, sa fente qui s’entrouvrait (pas de doute tout cela l’excitait aussi à mort), à la main de Raphaël qui visitait allègrement la chatte de sa propre mère. Il fallait qu’il se joigne lui aussi aux agapes ; alors, tandis que son copain roulait une pelle à sa mère, il descendit la fermeture éclair de la robe en cuir noir jusqu’en bas, et en déplia les deux pans. Il bandait comme un taureau.
    
    Sa mère révéla son ventre, ses deux gros seins lourds nus, son porte-jarretelles et ses bas résille noirs. Le geste de Fabrice révéla son petit buisson de boucles très noires et, évidemment, la main de Raphaël, qui avait pris possession de la chatte, 3 doigts enfoncés dans sa fente avide...
    
    Ivre de luxure, il se jeta sur un sein de sa mère pour en sucer la pointe, tandis que sa main tripotait allègrement l’autre. Josiane, qui avait les deux mains libres, en profita pour les poser sur les deux renflements du pantalon des deux jeunes hommes, sentant les deux verges qui pulsaient avec vigueur, comme voulant trouer leur prison de tissu. Elle se mit alors à dégrafer les deux fermetures éclair, et fouiller dans les deux slips, pour faire apparaître deux sexes en turgescence, qu’elle commença à caresser et à masturber.
    
    — Attends, cela ne va pas, dit ...
    ... Raphaël, on est tellement à cran, qu’on va jouir comme ça sous ta main, ce serait dommage. On va faire autrement. Josiane, maintenant que tu es aussi nue que ma mère, tu vas te mettre à mes genoux pour me sucer, et ma mère fera de même avec Fabrice ; et puis après, on s’occupera de vous !
    
    — C’est une idée délicieuse ! ” s’écria Josiane avec gourmandise, qui rêvait d’avoir un mandrin dans la bouche ; elle se demanda qui des deux femmes serait la meilleure fellatrice, chacune suçant la queue du fils de l’autre...
    
    Josiane s’exécuta, se mettant à genoux et avalant goulûment la bite de Raphaël, qu’elle se mit à sucer avec gourmandise. Anne se releva de la table et se mit elle aussi à côté de sa rivale, taillant une pipe au fils de l’autre femme.
    
    — Ouf, pensa-t-elle, ce n’est que cela, j’avais peur que cela aille plus loin !”
    
    En son for intérieur, elle était heureuse de sucer son jeune amant, car elle aussi sentait un plaisir sourd l’envahir devant l’incongruité et l’érotisme torride de la situation. Et puis après, se faire ramoner comme une chienne en chaleur, car elle devait admettre que regarder son fils se faire sucer par sa voisine du dessous, et bientôt baiser avec elle, avait de quoi l’exciter !
    
    Elle s’appliqua alors, avec beaucoup de professionnalisme, à donner du plaisir à Fabrice, défiant en quelque sorte Josiane de faire mieux, avec son fils à elle.
    
    Peine perdue, les deux garçons vinrent à peu près en même temps, éjaculant dans la bouche et sur les seins des ...
«1234...»