1. Shopping entre filles


    Datte: 16/07/2018, Catégories: ff, ffh, fbi, Collègues / Travail magasin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, jouet, init, initff, hff, Auteur: leszamours, Source: Revebebe

    ... ressentir comme une impression de désir envers son amie…
    
    Marianne se reprit et enfila le col roulé que Carole tenait tant à lui faire essayer avec la petite jupe écossaise qu’elle avait dégotée au fond d’un rayon.
    
    — Alors ? demanda Carole en la rejoignant dans sa cabine, toujours en sous-vêtements.
    
    Marianne faisait une moue dubitative en se tournant devant le miroir.
    
    — Hummm, bof, ça me gêne au cou.
    — C’est parce que tu n’es pas habituée, tu vas voir, tu vas t’y faire.
    — Bon, c’est vraiment pour te faire plaisir.
    
    Marianne se saisit de sa robe de soirée.
    
    — Tu restes pour m’aider à la passer ?
    
    Carole tira le rideau et Marianne se dévêtit une nouvelle fois. Elle laissa tomber au sol la minijupe écossaise. Lorsqu’elle se pencha pour la ramasser, elle offrit à Carole, bien involontairement, une vue imprenable sur tout le galbe de son postérieur.
    
    — Humm, se dit intérieurement Carole, mais c’est que mine de rien, tu sais que tu as de très jolies fesses, ma petite coquine ! Tu es mignonne à croquer.
    
    Imperceptiblement, Carole se rapprocha de Marianne. Elle se retint pour ne pas lui caresser les fesses, mais ne put s’empêcher de se serrer les cuisses au point d’en frissonner de plaisir. Ne se doutant absolument pas de l’effet qu’elle produisait sur son amie, Marianne ôta son pull d’un geste souple. Carole avait là, juste au bout de ses doigts, la douce peau de Marianne. Carole était de plus en plus excitée. Elle mourait d‘envie de dégrafer le soutien-gorge ...
    ... de son amie et d’enlacer Marianne. Son intimité mouillait de désir pour elle.
    
    Mais comment aborder le sujet sans braquer son amie qui, elle, n’avait encore jamais eu d’expérience avec une fille ?
    
    Marianne, ne se doutant de rien, décrocha la robe de son cintre. C’était une robe longue dont la jupe descendait jusqu’aux pieds. La partie haute était un magnifique bustier proposant un magnifique et profond décolleté, retenu par deux fines bretelles et fermé au dos par une interminable fermeture Éclair. Marianne se glissa dans la robe, souleva ses cheveux et attendit un instant.
    
    — Alors, tu rêves ?
    
    La question de Marianne tira Carole de sa rêverie.
    
    — Oui ! Et de toi et de ton corps de rêve. Tu as une chute de reins splendide. J’envie ton homme d’avoir une aussi belle femme sous sa couette, lui chuchota Carole à l’oreille.
    
    Elle se rapprocha de Marianne, posa sa main gauche juste au-dessus des fesses pour maintenir la robe en place et, de sa main droite, fit remonter lentement le zip de la fermeture. Puis, délicatement, elle releva les fines bretelles sur les épaules de Marianne. Le doux contact des doigts de Carole glissant le long de sa colonne vertébrale fit frissonner Marianne. Un trouble inexplicable commença alors à l’envahir. Elle sortit dans le couloir et se posa devant le grand miroir.
    
    — Tu ne peux pas essayer comme ça, lança Carole à Marianne, avec ton soutien-gorge qui déborde de tous les cotés, tu as l’air ridicule !
    — Oui, t’as raison, je ressemble ...
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