1. La folie du pleutre 15. Epilogue 4


    Datte: 16/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... ?
    
    La scène est fantastique, irréelle. Cette femme superbe, à moitié nue dans une chemise de nuit qui cache à peine son corps, face à cet impotent vieillard qui la branle, lui doigte le sexe, et dont les yeux exorbités sont fixés sur les seins à peine voilés. Il en bave le salaud. Il grogne par moment. Je pense au cousin qui doit dormir dans la chambre à l'autre bout du couloir. Plusieurs fois le tonton a l'air de lui demander de lever sa chemise de nuit pour mieux mater ces nichons sur lesquels je l'ai vu fantasmer pendant tout le repas hier soir.
    
    Mais quelle jouissance peut ressentir une jeune et jolie femme à se faire toucher par un vieux libidineux ? Plaisirs pervers ? Attrait de l’avilissement, la débauche, l’humiliation ? Ou tout simplement le désir de jouir ? Je constate que ma femme est une salope, sans morale ni retenue. Malgré ses promesses et mes avertissements, elle plonge dans la fange et se retrouve dans une situation de débauche sexuelle immorale et en dehors de toute règle naturelle de bienséance.
    
    Encore un regard derrière elle pour surveiller la porte de la chambre. Dans l'ombre du couloir, elle ne peut pas me voir. Alors se tournant vers le grabataire, elle se saisit du bas de sa chemise et la lève jusqu'au cou pour dénuder sa poitrine que le vieux matait avec tant d'insistance. Elle a fini par s'offrir à sa cupidité.
    
    Mais ce n'est pas fini ! Je n'y crois pas, elle ne va pas… Si, incroyable. Le bas de sa chemise de nuit maintenue relevée, elle ...
    ... avance maintenant, après un ultime regard vers la porte, une main vers le vieux, tire le drap qui couvre son ventre. Il est nu sans culotte de pyjama. La vision est pitoyable. Sa bite apparaît, toute molle, rabougrie et repose avachie sur son ventre aux poils blancs. En fait, d'où je suis, j'ai du mal à discerner la queue, des couilles, l'ensemble ressemble à un amas de chairs noyé dans des poils. La peau du ventre autour est fripée, ridée, blanchâtre, recouverte de taches de vieillesse. Mais, ma Marion la regarde comme ensorcelée. Elle approche sa main et saisit la masse de chair informe de l’appendice endormi qu'elle dégage d'entre les poils, en la prenant entre pouce et index. Son autre main maintient sa chemise de nuit relevée. Elle a des gestes lents, délicats. Le vieux, comme électrisé continue de la branler, rouge et bouffi à en exploser. Après l'avoir dégagée des poils, elle entreprend à son tour, de masturber la queue qui péniblement et miraculeusement prend de la vigueur. Elle peine à se dresser entre les doigts si fins de cette main si douce que je connais bien quand elle me caresse dans nos exercices amoureux. Doucement, elle décalotte le gland avec délicatesse de peur de le blesser tant il paraît fragile. Il est sec et sa peau fripée. Pourtant bien vite, une goutte de liquide séminal sourd en son méat. Marion y dépose la pulpe de l’index et s’amuse à faire des cercles pour étaler le liquide visqueux sur la surface de cette peau si sensible. Le tonton, le souffle ...
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