Colocation très hot (9)
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... j’espère que tu ne m’as pas déchirée.
— Ne t’inquiète pas, tout va bien de ce côté-là.
Claude fait des va-et-vient de plus en plus amples et reprend son doigtage de ma chatte qui se fait doucement à la présence de ces intrus, la sensation est divine après son coup de sabre dépuceleur. Il continue les mouvements de ses doigts, c’est encore douloureux. Il rassure aussi Dory :
— C’est bien, je suis complètement rentré maintenant. Je bute au fond.
Je vois aux rictus de Dory que la chose ne doit pas être si aisée. Claude commence ses va-et-vient, les lèvres de la chatte de Dory s’accrochent comme une sangsue autour de cet énorme pénis qui ne rentre à peine plus de la moitié de sa longueur. Les traits de Dory se détendent, appréciant enfin cet instant, comprenant qu’elle aussi aime (le sexe). Qu’elle aime être possédée par l’organe du mâle, et quel mâle !!! La barre de chair travaille méthodiquement son sexe, remplissant toujours un peu plus son rôle. Elle serre les poings, mais encaisse magnifiquement la charge. Les tressautements de son corps trahissent l’intensité de l’invasion monstrueuse. Des larmes glissent sur ses joues, mais elle lui avoue :
— Tes coups de bite sont délicieux, mais toujours un peu douloureux et je ressens chacun de tes mouvements. J’avais tellement peur de ne pas être à la hauteur de tes attentes et de te décevoir ! J’y suis arrivée !!!
— Il ne faut jamais se comparer aux autres, chaque femme est unique et je suis heureux de te faire ...
... découvrir tous les plaisirs que peut te donner ton corps, la console-t-il.
Il la travaille pendant longtemps, la faisant jouir plusieurs fois avant d’arriver lui aussi au plaisir.
Il se retire soudain pour éjaculer. Son foutre jaillit en de longs jets interminables qui viennent s’écraser sur le corps de Dory, de son pubis à ses cheveux.
Je me jette sur cette abondante semence que je goûte enfin nature, la ramassant comme l’aurait fait une cuillère avec ma langue, je suis devenue une folle dépravée. Il me regarde et me promet :
— Je vais te prendre avec douceur, mais tu es si serrée que tu vas devoir souffrir un certain temps avant que ton plaisir ne prenne le dessus !
Personnellement, j’ai tout simplement très, très envie, mais aussi très peur. La plupart de mes amies ont passé le cap, et puis il me plaît affreusement ! Quant à l’acte en lui-même... Pour cette première fois, comme beaucoup, je pense que ça ne sera pas très agréable, surtout que je suis très serrée. Sa verge n’est plus aussi altière, elle a baissé du nez et a perdu de sa rigidité, mais il attend encore qu’elle soit plus malléable. Il me positionne sur le côté et présente de nouveau son chibre devant mon coquillage... Et il replonge sa verge en la dirigeant avec sa main dans mon vagin. Je croyais ressentir à nouveau une intense douleur, mais le fait qu’il ne bande plus à fond me permet de résister et de m’habituer un peu, mais par Confucius, qu’il est gros... Même s’il fait de son mieux pour me faire ...