1. VOYAGE DE FIN D'ETUDES 1


    Datte: 16/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... son minois orné d’une charmante moustache noire !
    
    « Monsieur Desplats ??? »
    
    « Oui, ou madame, peut-être. Je ne sais pas si tout cela est bien convenable. »
    
    une heure plus tard, la coupe frisette et le maquillage m’avaient transformé, et Nelly, que je croisais, eut du mal à me reconnaître.
    
    « Ecoute, je n’ai pas de vêtements qui pourraient t’aller, mais dans ma chambre , il y a Karine, qui est un peu plus grande que moi. Elle m’accompagna jusqu’à ma chambre et me dit. Vas y de ma part, c’est un peu plus loin, au 428. Moi je dois voir Fred. Je la laissais entre dans la chambre et filais jusqu’au 428. Je frappais et Karine m’ouvrit.
    
    « Oui, c’est pour quoi ? Oh c’est oit, je ne t’avais pas reconnu avec ce…cette, enfin tu vois . »
    
    La belle Karine était dans l’autre classe de terminale. C’était une grande blonde, toujours très bien maquillée, bien habillée, souvent un peu rétro. Nous nous croisions souvent, en ville car elle habitait dans le quartier du lycée. Je l’avais rencontrée une ou deux fois dans des soirées chez des copains, mais elle avait disparu, à chaque fois que je voulais l’aborder. Elle ne faisait partie d’aucun clan, à ce que je sache, et contrairement aux autres filles était plutôt solitaire. Comme tous les gens qui ont une part de mystère, des tas de rumeurs couraient sur elle : elle était mariée en secret, ou alors elle effrayait les mecs, car c’était un travelo, sans parler des bruits comme quoi elle obtenait ses examens en couchant avec le ...
    ... proviseur, ou encore ceux qui disaient qu’elle avait les moyens parce qu’elle travaillait vers la rue bayard à la nuit tombée (célèbre rue pour ses prostituées).
    
    D’un seul coup, je me sentais intimidé devant elle.
    
    « Euh, c’est Nelly qui m’a dit que je pouvais te demander un service. »
    
    « Ah, oui, je ne sais pas. Tu sais, je la connais très peu. Nous sommes obligées de cohabiter, mais nous sommes loin d’être amies. Et on a eu de la chance. Nous ne sommes que deux dans cette chambre. Que veux tu, alors ? »
    
    « Nous avons décidé, avec quelques copains, de nous déguiser pour le bal de ce soir. »
    
    « et ? »
    
    « et je voudrais savoir si tu n’aurais pas une robe, ou quelque chose pour que je puisse m’habiller en fille. »
    
    Elle se recula d’un pas, pour me jauger ;
    
    « Oui, évidemment, tu ne rentreras jamais dans mes chaussures. »
    
    Je jetais un coup d’œil rapide à ses pieds, ensérrés dans de délicats escarpins à lacets, aux talons interminables. Sur que je ne rentrerais jamais dans de si petites choses.
    
    « Qu’as tu comme chaussures ?, a part celles ci, dit elle en désigna t mes baskets. »
    
    « J’ai une paire de sabots (c’était la mode à l’époque), et des bottines. »
    
    « Va chercher les bottines et reviens » me dit elle.
    
    Je fonçais à ma chambre , et y risquai un œil. Personne. Je récupérais mes boots .
    
    En passant j’entendis du bruit dans la salle de bains. J’entrebaillais discrètement la porte. L’ami frédéric était debout dans la baignoire, baisant avec délices la ...
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