VOYAGE DE FIN D'ETUDES 1
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... féminines caressant mes fesses, se glissant entre nous pour vérifier ce que je portais, provoquèrent une réaction qui ne tarda pas à se manifester soulevant le tissu.de la robe. Je m’échappais vers la terrasse extérieure, ou la nuit était tombée, pour griller une cigarette, le temps que mon excitation se calme.La place était déserte, et le fis un tour en fumant. Mais dans un recoin plus sombre, à l’étage au dessous, je découvris un spectacle charmant ; celui d’une homme en costume, dont le pantalon était sur ses chevilles, penché en avant sur le balustrade, pendant qu’une brune frisottée à moustache (mon prof de compta) jupe relevée, la pilonnait copieusement.
« et oui, tout le monde , même les profs. » me sussura une voix que je connaissais. Reste contre la balustre, et laisse toi faire. »
Je sentis deux doigts, tirer la fermeture éclair de ma jupe, puis des mins la firent glisser vers le bas, et une main saisit ma verge et la sortit par dessus la jupe, lui appliquant une masturbation, pas très rapide, mais très excitante, avec un gel qui me picota la queue et exacerba mes sens. J eregardais toujours le couple, en bas. La fille avait maintenant oté sa veste et, assise sur se talons, pratiquait une fellation de concours à notre prof.
« tu vois comme elle aime ça ? tu vois comme ils se font du bien » murmurait Karine à mon oreille sans cesser de coulisser sur mon membre, qui me semblait vouloir s’enflammer. Je fermais les yeux, concentré sur la caresse qu’elle me ...
... donnait , a la fois tendu vers le plaisir, et ne souhaitant pas que cette caresse cesse. Elle sentit gonfler ma verge et serra un peu plus, en augmentant sa vitesse . Je n’étais plus qu’un pylone sous tension, et je déchargeais d’un coup, mes jets blancs allant se perdre dans la nuit. elle continua un instant, et finit en épongeant ma queue dans un doux mouchoir. Puis la jupe remonta, la fermeture éclair aussi. J’allais la remercier, mais quand je me retournais, elle avait disparu. En bas, notre guide appuyée à la rambarde, les yeux clos, goutait la caresse des mains de Desplats sur sa ses seins blancs dénudés.
Je rejoignis le bar, où la fête battait son plein, nous bûmes et dansâmes jusque tard dans la nuit. J’étais de plus en plus proche de Valérie, mais je savais aussi qu’elle ne m’appartenait pas. Les filles, durant ce voyage n’étaient pas avares de baisers ou de caresses, sans qu’on puisse en tirer une quelconque conclusion. Tout le monde savait que c’était une parenthèse, qui se refermerait en rentrant en France, et on se fabriquait des souvenirs en découvrant des sensations nouvelles et un sentiment de liberté à bannir les tabous en laissant s’exprimer nos désirs.
Tard, dans la nuit, je regagnais ma chambre, mais je découvris que Frédéric, s’était installé avec Nelly. Comme je ne pensais pas que Liam, allait revenir, je décidais de leur laisser la chambre, et d’aller frapper à la 428, ou je savais qu’il y avait un lit libre. Au pire , j’en serais pour passer la nuit ...