La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1108)
Datte: 16/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... aucun coup ne fut porté jusqu’au sang, ni n’eut de conséquences dangereuses ou néfastes. La femelle s’était assise contre un des murs du couloir, recroquevillé sur elle-même, ayant peur d’avoir elle-même fautée. Lorsque le bras du Majordome fatigua, il ordonna aux deux soumis de le suivre, évidemment en quadrupédie. Après la correction qu’il venait de recevoir, chien Bernard n’aurait pas osé se déplacer autrement.
Lorsqu’ils arrivèrent dans le bureau du Châtelain, les deux chiens soumis se prosternèrent, mais contrairement à la femelle qui essayait de s’enfoncer dans le sol, tellement elle appréhendait de se trouver devant le Maître qui l’avait, pour le moment, temporairement accepté à Ses pieds, le mâle, bien que prosterné, semblait prêt à se relever dès qu’il le pourrait ! Monsieur le Marquis appuya sur un bouton d’appel sur son téléphone, m’appelant ainsi directement dans la pièce qui était contiguë à Son bureau. Je l’avais en effet rejointe immédiatement après la collation à laquelle j’avais eu droit après la visite des deux Dominants au musée. J’arrivais donc immédiatement aux pieds du Maître, me prosternant et attendant ses ordres. Il me murmura à l’oreille afin que je sois la seule à entendre ce qu’il avait à me dire :
- Tu vas emmener avec toi cette chienne jusqu’aux cuisines. Je la vois trembler, demande à Marie de s’en occuper, mais avec douceur et gentillesse, elle saura ce qu’il faut faire.
Il nous laissa le temps de sortir. J’avais essayé de réconforter ...
... la jeune soumise du regard, n’ayant pas le droit de parler mais elle était dans une sorte d’état second, persuadée que c’était elle qui avait commis une faute. Elle connaissait la réputation perverse et sévère de la cuisinière et elle tremblait encore plus à cette annonce. Au moment où je m’étais mise en quadrupédie pour sortir, le Maître m’avait relevé le menton, et m’avait fait comprendre par Ses yeux magnifiques d’y aller doucement et de prendre soin d’elle. Je fis donc attention en la conduisant à ne pas aller trop vite, à prendre le chemin qui empruntait le moins souvent possible les escaliers, quitte à ce que ce soit un peu plus long. Quand Marie nous vit arriver, elle ne me laissa pas le temps de dire quoique ce soit. Elle ne la laissa pas par terre, mais la releva et l’installa sur une chaise devant l’âtre bien au chaud, et lui servit rapidement un chocolat chaud. La femelle ne réagissait que mécaniquement. Son esprit était centré sur la réaction qu’aurait Monsieur le Marquis à son égard. Elle allait laper dans son bol, quand la cuisinière l’en empêcha et lui conduisit le récipient à ses lèvres. Jamais je ne l’avais vu si douce ! Marie m’interrogea sur ce qui s’était passé, mais je ne plus rien lui dire, n’ayant assisté à rien qui eut pu être choquant. Je luis exprimais seulement ce que le Maître m’avait ordonné de lui dire soit à lui dire de s’occuper de la femelle avec douceur et gentillesse …
Pendant ce temps, le chien Bernard voulait encore croire que seule la ...