1. Les chroniques de Sophia (1)


    Datte: 15/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Angell, Source: Xstory

    ... le forçant à se contorsionner pour qu’elle puisse lui enlever le vêtement, reposant tout de suite ses mains sur ses abdos, avec un petit air de convoitise sur le visage :
    
    — J’ai envie que l’on joue à un tout autre jeu, tous les deux.
    
    — Lequel ?
    
    Le jeune homme est totalement désarmé, lorsque la jolie rouquine passe ses mains dans son dos, pour commencer à défaire l’attache de sa robe :
    
    — Tu vas me tirer. Jusqu’à ce que je n’en puisse plus, et je peux déjà te dire que je suis endurante. J’encaisse comme personne. Tu vas pouvoir y aller franchement, je ne suis pas en sucre, tu ne me feras pas mal.
    
    Il rougit, alors qu’elle finit de libérer le haut de sa robe, lui laissant la vue sur son soutien-gorge. Sa poitrine imposante est bientôt à sa portée, tandis qu’elle s’attaque à son sous-vêtement :
    
    — J’ai attendu quasiment six mois... Je n’ai pas fait l’amour depuis trois ans... Je suis plus qu’en manque. Alors j’espère que tu n’es pas précoce.
    
    Il ne dit rien, ne se rendant pas compte qu’il allait enfin pouvoir réaliser son fantasme : détruire sa voisine de palier, qui n’attend plus que cela. Que doit-il faire dans ce cas ? C’est son instinct qui prend le relais, lorsqu’elle jette son soutien-gorge au travers de la pièce, et qu’elle lui lance un sourire pervers qui le fait durcir d’un coup : elle est vraiment magnifique :
    
    — Tu es...
    
    — Je suis... ?
    
    Il en perd ses mots, mais ses mains savent parfaitement où aller : il les pose sur sa poitrine, caressant ...
    ... doucement ses pointes, la faisant gémir au passage. Elle se frotte contre lui, massant son sexe au travers de leurs vêtements. C’est à son tour de soupirer de plaisir, jusqu’à ce qu’il descende ses mains le long du corps de sa belle. Cette dernière lui lance un petit regard pervers, puis tape sur ses mains, le forçant à la lâcher :
    
    — Je suis quoi, alors ?
    
    — Détache tes cheveux.
    
    Elle le fait sans poser la moindre question, laissant sa crinière de feu tombée sur ses épaules, puis sur ses seins :
    
    — Tu es la plus belle femme que je n’ai jamais rencontrée. Et je vais te faire l’amour comme si tu étais ma reine, et que je devais honorer notre nuit de noces.
    
    Elle gémit :
    
    — Détruis-moi... Je veux que tu me tues en me prenant...
    
    Il lui lance un petit sourire, la forçant à se lever. Elle comprend ce qu’il veut faire, alors elle se met debout, faisant tomber le bas de sa robe, lui montrant son absence de culotte. Il ne dit rien, se levant à son tour, pour l’allonger presque délicatement sur le canapé. Une fois son dos en contact du cuir frais, il s’allonge sur elle, ayant toujours son pantalon, mais ce qu’il compte lui faire ne l’oblige pas encore à être aussi dévêtu que sa partenaire.
    
    Il dépose un doux baiser sur ses lèvres, puis descend sur son menton, suit la ligne de sa mâchoire, puis reprend sa descente, avant de se stopper une première fois au niveau de sa poitrine opulente. Il caresse d’une main habile l’une de ses pointes, prenant la seconde dans sa bouche, ...
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