Chroniques immortelles - Le voleur de feu. (3)
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Irina, Source: Xstory
... en veux ! Dommage que l’autre petite pute soit restée dehors, je lui exploserai volontiers son trou de balle ! Allez, vas-y bouge sur ma bitte. Viens l’enculer !
J’en ai des frissons... D’une part ces salauds m’excitent ! Mais j’ai eu le temps de pénétrer à l’intérieur de leur esprit et ce que j’y ai vu m’a stupéfait. Je dois en savoir davantage. Alors je décide de passer à l’offensive !
Je me lève à mon tour et vais droit vers la chambre. Je découvre une épaule, laisse tomber largement un pan de ma djellaba et m’appuie contre le chambranle de la porte en prenant une pose lascive. Surpris, les trois hommes marquent un temps d’arrêt.
— Dites les gars, vous me semblez superbement virils ! Je peux me joindre à vous ?
Une brève hésitation, puis tout sourires, les trois hommes me font signe d’approcher. Je retire prestement ma djellaba et rejoint le groupe. L’américain est mon premier client.
— Eh les gars, regardez, elle a les nichons et le nombril percé ! Tu aimes ça ma pute, avoir mal ?
— Oui putain, vas-y, fais moi voir ton savoir-faire !
Il n’avait pas besoin de ça ! Il me couche brutalement sur le sol, se rue sur moi, me pénètre sans douceur. Je crie de plaisir.
— Oh oui ! Ça c’est un homme ! Plus fort !
J’ai envie de vomir. C’est écœurant. Ces hommes sont des porcs. Je croise le regard étonné de Fadila. Elle ne manifeste aucune émotion, aucun plaisir, je sens qu’elle s’est insensibilisée tout comme moi. Les trois hommes ne sont là que pour se ...
... soulager, nous ne sommes que des vide-couilles. Ils ne viennent que pour ça, et je comprends le rôle qu’il font jouer à Fadila et la raison pour laquelle elle n’a rien à craindre d’eux. Elle n’est pour eux qu’une esclave sexuelle. Et moi aussi. Mais je joue mon rôle avec application.
Je les encourage, les insulte, les motive. Ils s’excitent s’il en était besoin lorsqu’ils nous obligent à nous baiser mutuellement Fadila et moi. Nous subissons docilement leurs assauts sans rechigner. J’ai eu deux bittes dans la bouche, nous nous sommes fait prendre en sandwich, je les ai supplié de me prendre à deux dans le cul. Ils m’ont tiré par les cheveux comme si j’étais une jument, ils ont torturé mes seins. A présent, je sens un liquide chaud me frapper le dos, couler sur mes hanches, ils me pissent dessus ! De nouveaux jets me frappent le visage, on me force à ouvrir la bouche. Le liquide acre me remplit, l’excédent s’écoule sur le sol. Un autre jet inonde mes cheveux, ruisselle sur mon visage. Je suis comme ivre, je suis comme une folle et à chaque fois je hurle de plaisir !
Du moins apparemment...
Un long moment après, les trois hommes, vidés, épuisés, mettent un terme à leurs assauts. Il se rhabillent et s’en vont juste en nous disant « à la prochaine fois les putes. Leila, j’espère que tu sera là ! ». Et il sortent en riant.
Ordures...
Lorsque le bruit de moteur du Hummer diminue au fur et à mesure qu’il s’éloigne, Christelle pénètre dans la maison un pistolet dans chaque ...