Même le fils des voisins
Datte: 15/07/2018,
Catégories:
fh,
amour,
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
init,
Auteur: Vibescu, Source: Revebebe
... pas, il a insisté, j’ai cédé, et à nouveau tout raide il a plongé en moi. J’ai fini par l’avoir mon orgasme, en caressant mon clitoris, pendant qu’il allait et venait lentement en moi en me regardant, attentif à la montée de mon plaisir. On a fini dans la douche à se savonner l’un l’autre, je ne m’étais jamais sentie ni aussi proche ni aussi intime avec un homme. J’ai caressé avec de la mousse dans les mains son fessier musclé et il m’a dit en parodiant le film dont j’avais parlé :
— Et mes fesses, tu les aimes mes fesses ? Continue, ça me rappelle la douche d’après match, avec mes potes…
Il s’est pris un coup de poing dans le ventre qui a rebondi sur ses abdos.
Restaurant de coquillages, c’était délicieusement iodé, le vin blanc était frais, j’étais bien, j’ai presque commencé à penser que tout cela était vrai, que c’était l’homme de ma vie.
— Et ton amie, Isa c’est bien son nom ? Elle est mignonne, elle a un copain ?
— Celle qui voulait te donner son numéro ? Pas en ce moment. Je peux te le donner si tu veux, mais je pense qu’elle va moins te plaire défigurée par mes ongles et les yeux crevés !
— C’est pas pour moi, mais pour mon meilleur pote, je pense qu’ils se plairaient, et si ça accrochait entre eux on ne se perdrait pas de vue, plus tard, quand on sera marié.
Là, il allait trop loin, j’ai fait oui et j’ai attendu qu’on soit dans la rue pour le prendre à parti.
— Écoute-moi Gaby : si tu t’amuses avec moi, ça n’est pas bien, je suis très naïve, et ...
... je commence à être très sérieusement amoureuse de toi, et je n’ai jamais dit ça à personne !
Je l’ai vu se mettre en colère, il m’a prise par la main, mise dans sa voiture et s’est mis à rouler sans desserrer les dents. La circulation heureusement était très fluide, direction le centre de Paris. On est arrivé devant une sorte d’hôtel particulier aux fenêtres éclairées, un policier en tenue à l’entrée, une barrière baissée. Gaby a tendu sa carte d’identité à la sentinelle qui a relevé la barrière. On est descendu de voiture dans une cour pavée, ça ressemblait à un ministère. Il m’a expliqué :
— La résidence de fonction de mon père, il n’est jamais là. Il est énarque, Secrétaire d’État et il faut ça pour les réceptions, le protocole, tout ça.
Puis il a frappé à la porte-fenêtre et est entré sans attendre à pas décidés. Je l’ai suivi dans le grand hall jusqu’à un petit salon très richement meublé où se trouvait une très belle femme, la cinquantaine élégante qui lui a fait un grand sourire. Gaby a effleuré sa joue.
— Sophie, je te présente ma mère. Maman je te présente Sophie, je la connais depuis deux semaines, je vais l’épouser, sinon un autre le fera, et je ne me le pardonnerais pas.
J’ai dû faire une telle tête, bouche ouverte et larmes aux yeux que sa mère s’est approchée :
— Ne vous inquiétez pas Mademoiselle, vous pourrez toujours refuser, mais je dois vous avertir que mon fils est un entêté, et que je ne l’ai jamais vu renoncer à quoi que ce soit. Ceci ...