1. La stagiaire, le technicien et le chariot


    Datte: 14/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couleurs, Collègues / Travail chaussures, Oral pénétratio, totalsexe, Auteur: Flamenco, Source: Revebebe

    ... tétons tout durs, et je regardais son nombril remuer, au rythme de ma queue en elle.
    
    J’allais et venais, bien large en elle, et j’adorais contempler ce corps de jeune salope, qui se faisait tringler. Mais j’ai eu envie de la sentir un peu plus serrée, plus bridée, pendant que je la prenais, pour la sentir plus… soumise ! Je lui ai pris les jambes par les chevilles derrière moi, et les ai fait passer devant. Puis je les ai retendues, et enfin appuyées sur mon torse : je sentais toute la longueur de ses jambes frémissantes contre moi, et toujours ses bottes, bien calées contre mes épaules, encadrant mon visage. J’adore sentir le contact des bottes, du cuir, contre mon visage, ainsi que l’odeur ! Bien peu de femmes sont conscientes du pouvoir extrême qu’elles peuvent avoir en manipulant certains hommes par leur point faible, comme moi avec les bottes. J’ai alors remonté mes mains le long de ses jambes bien moulées dans les leggings, et j’ai pris en main les bottes contre mon visage. J’ai recommencé à coulisser en elle, avançant un peu plus difficilement entre ses chairs resserrées. Je l’ai sentie frémir comme une folle : elle a crié !
    
    Moi, je savourais les bottes contre mes joues, et je l’enfilais, je la baisais. Je sentais ma large queue remonter dans son ventre bien serré. Je la sentais se crisper, remuer d’un plaisir atroce, sur le chariot. J’ai tourné la tête et j’ai commencé à lui lécher le cuir de la botte, tout en continuant à la fourrer, tout en lui léchant, ...
    ... voire en lui suçant longuement la botte, qui remuait contre mon visage à mesure de mes allées et venues. Je l’ai regardée : cette salope souriait, les yeux mi-clos. Elle avait ce sourire de satisfaction, comme si elle savait qu’elle me rendait fou ! Je n’en pouvais plus : je lui ai subitement ré-écarté les jambes, qu’elle a immédiatement remises autour de moi. Et j’ai plongé sur elle, lui prenant la tête entre les mains, et lui roulant un palot mémorable, lui violant la bouche avec ma langue, pendant que je reprenais mon travail en profondeur, entre ses cuisses ouvertes.
    
    J’ai adoré me plaquer de nouveau contre elle, me laisser peser sur son corps, en continuant à la fourrer bien profondément, sentir enfin son odeur, son visage contre le mien, et la sentir respirer contre moi, en moi, et l’investir totalement, sentir mon torse contre elle, et sentir ses seins remuer brutalement, au rythme de mes propres coup de reins. J’avais l’impression d’une emprise totale sur elle, ses talons en bois bien recalés sur mes reins, comme si elle était agrippée à son plaisir !
    
    Je sentais que la jouissance approchait, et j’ai ralenti un peu, en prenant cependant bien soin de la ramoner en profondeur, pour bien ressentir tous les spasmes de jouissance dans son corps, et dans sa bouche. Elle me jouissait dans la bouche. Je sentais son corps se crisper un peu autour de ma queue, et j’ai senti sa gorge comme se serrer : elle s’étranglait un peu, comme si elle ne pouvait plus gérer, pendant que je ...