1. La stagiaire, le technicien et le chariot


    Datte: 14/07/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couleurs, Collègues / Travail chaussures, Oral pénétratio, totalsexe, Auteur: Flamenco, Source: Revebebe

    ... te fais faire un tour du propriétaire ?
    — Je préférerais avoir un aperçu du matériel qui marche bien, en bonne santé… m’a-t-elle répondu calmement, mais avec un petit air entendu.
    
    Elle a descendu le regard sur ma braguette. J’ai adoré : trop forte ! Sofia était donc claire, nette, et précise. À cet instant, je me suis senti tout petit, bien que terriblement excité. Je lui ai souri, puis j’ai pensé à la porte qu’il fallait condamner. J’ai placé un chariot avec du matériel devant la porte, de façon à ce que, si quelqu’un venait, il mette du temps à rentrer. Je mis en place le montage, et elle me souriait, contemplant mes préparatifs pour pouvoir la sauter tranquillement.
    
    Je suis revenu, hésitant, vers elle, le regard fuyant, visiblement très intéressé, mais un peu culpabilisé : sauter une stagiaire dans la boîte. Quand même ! Elle souriait, et a reculé jusqu’au même type de chariot, où il y avait des routeurs en stock. Puis elle s’est appuyée un peu dessus, comme assise, ses jambes légèrement fléchies. On aurait dit qu’elle n’attendait que ça : elle semblait si sûre d’elle. Je me suis approché, ne sachant pas trop comment j’allais m’y prendre, et j’ai sorti un truc du genre :
    
    — Tu sais, Sofia, c’est du matériel assez ancien quand même… mais il est rodé !
    
    Et j’ai rougi, en espérant que le sous-entendu diminue ma gêne. Elle a soupiré, écartant un peu les jambes, et faisant crisser ses talons sur le sol.
    
    — Mmmhh… le matériel rodé est le meilleur, bien souvent ! ...
    ... Le plus demandé, et… le plus garanti ! laissa-t-elle échapper plus bas.
    
    Je me suis approché d’elle et j’ai posé les mains sur le chariot, de part et d’autre de ses hanches, mon visage approchant le sien, et une de mes jambes entre les siennes. Je l’ai vue fermer un peu son visage quand même, au moment où j’approchai. Elle faisait la fière, mais avait quand même une certaine appréhension. Mais j’ai senti ses jambes qui m’emprisonnaient la mienne, pour me faire comprendre qu’elle était d’accord. Puis, elle m’a mis la main au paquet.
    
    — Mmmhh… je te plais, Tom ? lâcha-t-elle.
    
    Je me suis redressé un peu, et j’ai laissé ma queue se gonfler entre ses doigts. Elle souriait, en coin, coquine, et allait et venait, ses doigts bien enroulés autour de ma queue. Elle me tâtait, bien comme il faut, puis a écarté les jambes. Ses talons crissaient toujours ! Mes mains sont passées du chariot aux cuisses de Sofia, puis sous sa tunique. Je palpai bien ses cuisses légèrement rondes, et sentis ma queue durcir encore plus du coup. J’ai basculé le front contre le sien, lâchant un soupir dans son visage :
    
    — Mmmhh… Sofia ! Je n’avais qu’une envie : celle de la prendre tout de suite. Et elle devait le sentir dans sa main. Je l’ai prise par le dessous des fesses, en la palpant bien, à travers son legging. Je l’ai assise sur le bord du chariot, puis j’ai relevé un peu sa tunique, tout en commençant à l’embrasser.
    — Sofia, tu es sûre de ce que tu fais ? lui demandai-je.
    
    Je prends toujours ...
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