1. Ludo vs Elise - 3 - Matinée


    Datte: 14/07/2018, Catégories: fh, fbi, hbi, hplusag, fplusag, frousses, gros(ses), groscul, hotel, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio, ecriv_c, Auteur: Lys d'Oran & Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... si désarmante, l’avait touché et l’avait libéré d’années d’inhibition.
    
    Sans qu’il s’en rende réellement compte, sa main droite se posa sur la cheville de la belle endormie. Paume ouverte, doigts légers, celle-ci, alors que son disque dur interne finissait d’effacer ces années de souffrance, amorça une caresse nonchalante. Suivant les lignes naturelles de la jambe, elle contourna le genou. Devenue frôlement, elle agaça, éveilla chaque parcelle de cette cuisse puissante. But ultime, elle escalada ce cul, cet immense cul. Parvenue au sommet, la main utilisa toutes ses potentialités pour explorer une nouvelle fois ce monument de sexe. Main ouverte, doigts écartés, du haut de la paume, du dos de la main, du bout des ongles, poing fermé : tout y passa. Ludo, sortant de ses pensées, eut soudain conscience qu’il bandait comme un Turc. Il prit également conscience de ce que manigançait sa main. Un instant d’arrêt, d’hésitation, un regard à Élise. Sa respiration régulière, son sourire apaisé : apparemment, ces caresses ne la dérangeaient pas. Il relança sa main. Élise avait deux fesses : il dut envoyer sa main gauche en renfort. De ce fait, il ne put faire autrement que de poser ses lèvres à l’endroit où sa main avait entamé son trajet.
    
    Avec une ferveur qui l’étonna, il butina chaque centimètre carré de peau en suivant le chemin précédemment emprunté par sa dextre. Mais maintenant, chacun de ses gestes était voulu. Aussi sa bouche mit beaucoup plus longtemps pour effectuer le ...
    ... parcours. Il fallait, sans cesse, s’arrêter, se plier aux caprices de lèvres qui trouvaient le mollet si agréable qu’elle ne pouvait plus s’en détacher. Ensuite répondre à ceux d’une langue toute aussi exigeante qui, très fière des réactions qu’elle provoquait en léchant l’intérieur du genou, s’en allait pour mieux y revenir, mais ne voulait plus partir. Enfin une fois la cuisse rejointe, Ludo dut se raisonner pour ne pas laisser ses dents mordre cette chair si tendre et dont il était si affamé. Pendant que sa bouche butinait ainsi, ses mains avaient toute liberté pour s’occuper. Après avoir effleuré, cajolé, pétri, palpé, malaxé, trituré, maltraité de toutes les manières possibles ces deux excroissances fermières, elles avaient, écartant bien les deux hémisphères, accédé au temple inviolé. Un pouce, l’autre, les deux appuyaient, tournaient, poussant l’anus dans ces derniers retranchements. Lorsque l’index de la main droite commença de frapper à la porte close, la main gauche se sentit de trop et descendit à l’étage inférieur voir ce qui s’y passait. Divine surprise ! La vulve ruisselante affirmait que, endormie ou pas, Élise appréciait.
    
    Ludo voulait voir ! Abandonnant son travail de bouche, il se redressa et contempla ce profond canyon dans lequel sa bite s’était vautrée la veille. Ses yeux descendirent jusqu’à la fourche. Pour sûr, Élise ne restait pas froide sous ses caresses : les fluides, qui suintaient de sa vulve bâillante et souillaient sa rousse toison, en étaient la ...
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