Bon anus ! - Histoires de Sexe

Bon anus !

... lui lécher le gland comme si c’était une glace. Par moments, sa langue glissait lentement le long de sa hampe et de ses bourses, remontait, faisait le tour du frein, venait titiller son méat, lapait à nouveau son gland et reprenait ce délicieux manège. Bien calé sur le canapé, il savourait cette douce gâterie.

— Mmmm, que c’est bon, murmura-t-il tandis qu’elle le prenait entre ses lèvres.

Satisfaite, elle l’enfonça dans sa bouche et commença à le faire coulisser.

— Oui, j’aime comme tu me suces, s’exclama-t-il quand elle se mit à le pomper.

Encouragée, elle accompagna de la main l’action de sa fellation.

À la fois sucé et branlé, il sentait son pénis se tendre de plus en plus, et il la prévint qu’il ne résisterait pas longtemps à ce rythme.

Désirant profiter de ce piquet bien dressé, elle se releva, dégrafa sa robe et la fit tomber à ses pieds. Puis elle l’enjamba et, écartant sa culotte, se planta ce pieu jusqu’au fond de sa chatte. Attrapant ses fesses, il accompagna la chevauchée dont le puissant galop les conduisit rapidement aux portes du plaisir. En entendant les cris de sa cavalière, le vaillant étalon accéléra la cadence et jaillit en de fortes giclées au fond de son vagin.

Après avoir récupéré son souffle, il l’embrassa tendrement. Ils étaient toujours emboîtés, elle se sentait si bien dans ses bras. Il enleva son soutien-gorge pour sentir l’ampleur de ses seins contre sa poitrine. Ils restèrent ainsi à se caresser pendant quelques ...

... minutes.

— Bon sang, j’ai oublié de mettre un préservatif ! s’exclama-t-il soudain.
— Je sais, prise par mon désir je n’y ai pas pensé non plus. Pour ma part, tu peux être tranquille. Je viens de faire des analyses tout va bien.
— De mon côté aussi, tu n’as pas à t’inquiéter. Je donne mon sang régulièrement et on ne m’a jamais rien signalé. Et puis, en principe je me couvre toujours…
— En plus, mon gynécologue m’a installé un stérilet. On est tranquille aussi de ce côté là.

Rassurés, ils retournèrent dans les bras l’un de l’autre, puis elle l’emmena dans sa chambre.

Ils passèrent la nuit à s’aimer, dormant parfois quelques minutes ou quelques heures, le temps s’écoulant en dehors d’eux.

Au petit matin, elle le poussa aux confidences :

— Alors la femme de tes fantasmes, comment est-elle ?
— Pas très grande, les cheveux blonds, de magnifiques yeux bleus, un joli dos descendant sur de somptueuses fesses, des seins à damner un saint, de très belles lèvres que j’adore embrasser, un petit nez mutin.
— Arrête tes flatteries, je ne t’ai pas demandé de me décrire, mais de me raconter la créature de tes rêves.
— De mes fantasmes, mes rêves je t’ai déjà dit que je ne m’en rappelle jamais. De toute façon ma description est juste, tu hantes mes nuits depuis longtemps, et encore plus depuis que je t’ai rencontrée.
— Allez, dis-m’en plus, laisse-toi aller.

Et il lui raconta les cuissardes à talon aiguille, les guêpières et strings avec lesquels elle s’habillait dans son ...