1. Mon jeune valet (1)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Gay Auteur: beauvit, Source: Xstory

    ... tandis que je sentais ma verge se durcir dans mon slip. Pendant le repas nous avons parlé de sa vie en Algérie, de ses projets, de sa famille, de ses amis et aussi un peu de moi. Nous avons poursuivi la soirée au salon, assis côte à côte sur le canapé, devant les informations télévisées, en buvant une bière. Je ne pouvais éviter de fixer son entre-jambe. Il le remarqua et me sourit. « Il fait chaud chez toi, tu permets que je me mette à l’aise ? » me dit-il. Sur mon signe de tête affirmatif, il retira son teeshirt, laissant ainsi voir sa poitrine ornée d’un mince triangle de poils noirs entre les seins aux aréoles bien sombres, ainsi qu’un ventre bien dessiné, coupé par une ligne de petits poils noirs descendant vers le pubis. Voyant qu’il n’était pas farouche, je décidais de précipiter un examen plus complet de ce corps viril.
    
    Je commençais à lui caresser ses belles jambes poilues, toutes proches des miennes, en remontant lentement vers le boxer noir. Sans hésiter, il se pencha vers moi et entreprit de m’embrasser sur la bouche. Nos langues se cherchèrent et nos salives se mêlèrent. Tout excité, je lui caressais le dos, puis les fesses et mes mains, soulevant la ceinture élastique de son boxer, glissèrent sur ses globes bien fermes et soyeux. Je sentais son corps vibrer entre mes bras et sa langue vigoureuse fouiller ma bouche. Je bandais comme un malade et ma bite trop comprimée par le slip me faisait mal.
    
    Soudain Ahmed abandonna ma bouche et commença à déboutonner ma ...
    ... chemise. Fiévreusement je l’y aidais et me retrouvais bientôt torse nu, avec ses mains chaudes qui me trituraient les tétons déjà dressés. Puis se relevant devant moi, sans aucune pudeur, baissa son boxer jusqu’aux chevilles, exhibant sa virilité triomphante. Sa verge circoncise, pointait bien droite sous mes yeux fascinés, brune, longue, fine, terminée par un gland violacé, avec une paire de couilles bien rondes couvertes de duvet noir et un bas-ventre garni d’une épaisse toison foncée. Une merveille ! Ne pouvant résister une seconde de plus à la vue de ce membre qui palpitait sur son abdomen, d’une main je m’emparai de ses balloches alors que ma bouche enfournait son gland à la peau si fine et si douce, au méat suintant et à l’odeur de mâle si excitante.
    
    Pendant que je le suçai avec gourmandise, il me caressait les cheveux et les épaules de ses mains chaudes et murmurait : « profite bien de ce sexe d’Arabe ; tu en avais envie ; je suis prêt à satisfaire tous tes fantasmes ». Sa voix était grave et envoutante. Lâchant son sucre d’orge, je me redressai, le serrai fougueusement contre moi et commençai une pelle profonde, les mains sur ses fesses, des doigts glissés dans sa raie humide et poilue. Quel pied ! Je le repoussai au bout d’un moment et entrepris de défaire ma ceinture. Aussitôt, de ses mains agiles, il m’aidait à déboutonner mon pantalon, le faisait glisser vers mes genoux et empoignait ma verge toute raide à travers le tissu fin de mon slip en s’exclamant : « on ...