Mon fils, cet étalon. (14)
Datte: 29/01/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... entre les chants des grillons, les seuls témoins de l’orgie, de notre orgie.
J’essaie d’introduire un doigt, ça rentre tout seul. Je m’enhardis, et j’en mets deux, puis trois. Il me dit :
— Tu peux me fister, j’ai l’habitude avec ma salope de femme. Elle adore rentrer son poignet dans mon cul, mais, s’il te plaît, branle-moi en même temps.
J’exécute ses volontés. Tout d’abord, j’entre ma main et je serre le poing dans son conduit anal. Je me saisis de sa queue qui a pris un volume et une raideur peu commune. Je le branle tout en le fistant. Il couine, le cochon. Je ressors ma main, il lui enfourne presque tout mon avant-bras. Je tourne et retourne mon poing dans ses boyaux ? C’est chaud, c’est doux. Il gicle dans un beuglement énorme. Je reste fichée dedans un petit moment. La quantité de sperme expulsée est impressionnante, j’en ai plein la main, il en a juste sur son menton.
Il me remercie et va se resservir un p’tit coup. Je regarde Sané qui est prise en levrette par un Jéjé en sueur. Je me mets dessous la belle black et goûte à son jus. C’est fort, animal, bestial. Je me régale à sucer son énorme clito, à le mordiller. Elle hurle sa jouissance, Jéjé aussi et déverse une bonne dose de semence dans la matrice. Il s’affale sur son dos et l’embrasse. C’était sa première femme de couleur. Sané en est ravie.
Coco et Eva ont joui aussi. Elles sont en train de se lécher leur visage, de se laver. Je plonge, vite rejoint par les filles. Roger préférant se resservir ...
... et manger un bout en compagnie de mon fils.
On parle des exploits de Roger. Elle nous avoue qu’il est bien plus pervers qu’il n’y paraît. Elle nous racontera à l’occasion. Il est temps pour Eva et son Jéjé d’aller se coucher, ils ont cours demain.
Nous, étant lundi, nous ne travaillons pas. Roger se ressert un quatrième pastis, il n’a même pas touché au rosé. On sort, se douche et on se pose cul nu sur nos chaises. Rendez-vous est pris pour aller à la plage le lendemain matin avec Sané.
Après nous avoir aidés à débarrasser et à laver, Sané nous laisse et part avec son mari.
— Il est impressionnant ce p’tit vieux, me dit Coralie.
— Tu as vu, jusque-là... lui répondis-je en montrant la moitié de mon avant-bras.
On va se coucher dans la bonne humeur ? C’est blotti l’une contre l’autre que l’on s’endort.
Les cigales chantent leur douce mélopée. Je m’étire. Coco N’est plus là. Je me lève et me dirige vers la cuisine où l’odeur du café m’a attiré. Pas de Coco. Je vais sur la terrasse, elle y est en compagnie de Sané. Elles sont toutes les deux en train de siroter leur café, clope à la main. Je viens les rejoindre.
— Alors ma puce, tu es enfin réveillée ?
— Pourquoi, quelle heure est-il ?
— 11 h 00, ma chérie.
— Je crois que la plage est annulée ?
— Pas grave, me répond Sané, on a tout notre temps. On a qu’à flemmarder au bord de votre piscine.
— Non, non. On a dit plage, alors ce sera plage. Bois ton café et après, je vous embarque.
Voilà, ...