Covoiturage, sexe and sun
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
Hardcore,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
C’est une recherche internet qui me mena sur ce forum où des personnes relataient de croustillantes expériences de covoiturage. Je me suis régalé en parcourant les rubriques, au point de finir par me masturber tellement certains récits étaient excitants. C’est aussi à cette occasion que j’appris qu’il existait des codes employés dans les messages, indiquant certaines dispositions, tant de la part des chauffeurs que de celle des voyageurs.
« Ok violette », par exemple, signifie qu’une personne n’est pas opposée à ce qu’il y ait des contacts physiques au cours du voyage. Généralement, ce code est utilisé par les chauffeurs qui, lors des échanges écrits avec les futurs voyageurs, leur posent tout simplement la question :
« Ok violette ? »
D’autres noms de fleurs sont utilisés, selon les attirances sexuelles des intéressés. Le bouton d’or, par exemple, est employé par les hommes qui apprécient les hommes. Tout comme la rose est un code entre femmes.
Une page Facebook semble être à l’origine de ce système d’échange qui s’est rapidement répandu.
Sur le forum, je me souviens qu’un homme d’une quarantaine d’années racontait qu’à l’occasion d’un voyage de Rodez vers Limoges, il avait été contacté par une étudiante coréenne de 21 ans.
A la question « Ok violette ? » au cours de leurs échanges de messages en privé, la fille avait répondu « Ok selon feeling. » Suite à cela, l’homme avait décidé de ne prendre que cette voyageuse sur son trajet.
Il ne l’a pas ...
... regretté.
Il racontait que le premier contact avait été une caresse de la cuisse de la fille, en roulant sur l’autoroute. Elle portait une jupe assez courte et ses cuisses étaient nues. Voyant qu’elle se laissait faire et qu’elle souriait, l’homme avait prolongé le geste jusqu’à ce que sa main atteigne la culotte. Là, la fille s’était cambrée pour retrousser sa jupe à sa taille et ouvrir les cuisses pour se laisser masturber. Cela avait duré plusieurs kilomètres, puis l’homme avait quitté l’autoroute pour se garer sur une aire.
Il racontait la suite à peu près en ces termes :
« J’ai rarement entendu une fille crier autant en se faisant baiser. Des cris très aiguës qui m’ont donné l’impression de sauter une jeune adolescente. A un moment donné, un poids lourd a ralenti près de la voiture. Le chauffeur s’est rincé l’œil pendant plusieurs minutes. Ça n’a pas dérangé la fille. Ça ne m’a pas gêné non plus. J’ai rarement giclé autant sur une chatte. »
Un autre homme, plus âgé il me semble, expliquait qu’il s’était tapé une femme mariée d’environ trente-cinq ans, sur le siège passager, en compagnie d’un étudiant qui se trouvait à l’arrière de la voiture. Sur une aire d’autoroute, la femme avait baissé son siège et elle avait sucé tour à tour le conducteur et l’étudiant, avant de se mettre à poil. La scène s’était terminée à l’extérieur de la voiture, dans l’herbe.
L’homme écrivait :
« Pendant que le jeune prenait cette salope en levrette, elle me suçait et je tripotais ses ...