1. La leçon de piano (3)


    Datte: 13/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Jademik, Source: Hds

    Depuis ce jour mémorable, nous filons tous les trois le parfait amour et multiplions les fantaisies érotiques au piano, inventant sans cesse de nouvelles positions. Une de nos dernières trouvailles se passe pendant une gymnopédie de Satie que Sandra joue lascivement, comme il se doit. En petite tenue, elle s’installe en cours de morceau à genoux sur le banc, se laisse déshabiller progressivement, écarte les jambes et se fait prendre par derrière par Serge. C’est d’ailleurs au cours d’une de ces séances que Sandra, au départ très réticente, a découvert le plaisir de la sodomie. Elle la pratique aujourd’hui régulièrement avec bonheur. Qu’est-ce qu’on a pu rire aux premières tentatives où elle manquait de tomber du banc, où elle avait une crampe, lorsqu’elle multipliait les fausses notes sous les coups de boutoir assénés à son cul, ou encore lorsque Serge, se retirant d’elle, loupait ma bouche et éjaculait directement sur le clavier ou même la partition !
    
    Mais nous avons aussi élargi, grâce à elle, notre registre de pratiques sexuelles. Je m’explique.
    
    Au mois d’août dernier, nous avons passé deux semaines au cap d’Agde, une région que nous avions l’habitude de fréquenter, Serge et moi, il y a une dizaine d’années. En préparant ledit séjour, j’avais eu la joie de constater que l’hôtel où nous descendions à l’époque existait toujours, aussi m’étais-je empressée d’y réserver une suite spacieuse pour trois. Hôtel un peu spécial il est vrai, notamment au niveau des activités ...
    ... proposées à la clientèle. Ce n’est pas le genre d’endroits où on amène ses enfants, si vous voyez ce que je veux dire…
    
    Une fois arrivés, super accueil, les gérants ont changé mais l’ambiance, libidineuse à souhait, ne semble pas avoir disparu. Ce n’est pas tant la présence de salons à thèmes style boîte échangiste que nous affectionnons (j’ai déjà dit plus haut ce que Serge et moi en pensons), ni même le style de la clientèle, plutôt jeune et clean, même si cela n’est pas négligeable, que la décontraction d’ensemble et l’ambiance débridée peu communes (très seventies) qui y règne qui nous font craquer. Beaucoup d’activités, de jeux et de sorties liées au sexe, cela va sans dire, jusqu’aux petits-déjeuners et aux dîners avec des serveuses ou des serveurs participant aux réjouissances. J’en cite quelques-uns : les « plats-maison », la « mise en bouche », le « trou provençal », « à qui appartient ce (ou ces)… ? », « les chaises animales », « le concours les-pines », le « mur des lamentations », sans parler des classiques « colin-maillard », « ni oui ni non » ou « strip-poker »… Des jeux où chacun est libre d’apporter sa touche personnelle, si je puis dire ! Et ce ne sont assurément pas les souvenirs qui manquent avec Sandra, en témoignent les quelques exemples suivants.
    
    La scène se passe à la fin du jeu « à qui appartient ces… ? ». Couvrant la plupart des variantes possibles, l’hôtel possède des parois dédiées en plastique épais avec des trous correspondant aux seins, aux ...
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