1. Révisions


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, copains, Oral pénétratio, Auteur: Bali Balo, Source: Revebebe

    ... peur des mots, son cul, dans toute sa splendeur. Entre les cuisses je distingue le renflement du sexe bordé de poils. Hyper bandant. Je reste un moment contemplatif et puis je pars à l’attaque. Je reprends les baisers tout doux, j’écarte un peu ses fesses pour de petits coups de langue indiscrets. Le tranchant de ma main part en exploration entre ses cuisses, découvre la douceur des lèvres, la chaleur et l’humidité. J’insinue même un doigt, le glisse en crochet dans son vagin, fais quelques va-et-vient. Cette fois, Martine frétille comme un gardon, elle se cambre encore plus, a carrément les jambes entre parenthèses. Il me semble que sa voix a blanchi…
    
    Gardant un doigt dans son vagin, j’écarte ses fesses avec les doigts de mon autre main et, du bout de ma langue mutine, je vais lui titiller l’anus. La position n’est pas très confortable. Alors je me retourne, me mets sous elle et, lui agrippant les fesses, j’embrasse et lèche furieusement sa toison. Et puis un doigt s’aventure vers son petit trou déjà passablement sollicité. Elle serre les fesses, puis relâche. Sans avoir l’air de rien, le doigt tourne un peu autour, puis appuie doucement, elle resserre les fesses, relâche encore… Le doigt refait quelques tours, appuie encore un peu. Elle ne serre plus. Le doigt appuie encore, un peu plus fermement, un peu plus autoritaire et puis, comme sans faire exprès, comme par accident, va s’enfoncer. Immobilité, attente. Autre va-et-vient. Elle ne bouge plus, mais on sent tous ses ...
    ... sens en alerte, à l’affût de ces sensations nouvelles. Alors doucement, je glisse le pouce de la même main dans son vagin. Elle est complètement trempée. On déguste cette caresse à deux doigts. Avec l’index de l’autre main, je vais alors glisser vers son petit bouton.
    
    — Martine, tu m’écoutes ou pas ?
    
    Évanescente, Martine essaye de répondre :
    
    — …ais oui, .a.an, .e .’éoute…
    — Tu es fatiguée, toi. Tu te coucheras tôt ce soir !
    
    Martine essaye de ne pas bouger pour éviter l’orgasme en tête-à-tête avec sa mère.
    
    — Bon, j’y vais, Martine. N’oublie pas ce que je t’ai dit !
    — Au revoir, Maman, à tout à l’heure.
    
    Vivement, Martine se dégage de mes doigts, se retourne et, reposant cul nu sur le rebord de la fenêtre, elle écarte largement les cuisses et, me traitant de salaud, elle agrippe ma tête pour l’enfouir dans sa minette. Je joue furieusement à broute-minou, des lèvres, des dents, de la langue. Alors, là, elle se lâche, remue, geint, jouit… Elle n’appelle pas sa mère, quand même, faut pas exagérer. Je vais en prendre une crampe dans la langue, je sens. Mais tout à coup, elle me repousse, elle fait voler son débardeur, son soutien-gorge. Elle est complètement nue. Je l’accompagne aussitôt. Ma bite est toute heureuse d’être libérée d’un slip coercitif. Elle a rejoint le lit, s’est couchée sur le dos, les cuisses écartées et fléchies :
    
    — Viens !
    
    J’obéis encore, mais avant de conclure, je veux lui caresser les seins, les baiser, je la retourne pour revoir ses ...