Ça c’est passé simplement 7
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Macerou, Source: Hds
... dit : « Pars maintenant, je te rejoins dans ton bureau » Il était évident que je n’avais rien vu de ce qui c’était passé ! Je me demandais d’ailleurs si lui disant que je l’avais vu se caresser, cela n’aurait pas été pour elle un plaisir qui l’aurait excitée ???
Je remontais dans mon bureau la réceptionniste était au téléphone et ne s’aperçut presque pas de mon passage. Elle l’aurait oublié dans une demi heure.
Quelques instants après Mireille passait et rejoignait son bureau. Je décidais de tenter de la revoir avant de partir pour mes rendez-vous de la dernière semaine et j’allais dans son bureau un dossier à la main et je pensais, ces temps on fait prendre l’air aux dossiers.
Moi : « Je déplace deux rendez-vous et on pourrait se retrouver à midi tranquillement, … par exemple où nous étions hier, … pour un dernier adieu, … je te ferais l’amour gentiment »
Elle : « Tu ne penses pas que tu exagères, tu abuses de moi, … tu viens, tu siffles et comme une bonne chienne, j’arrive, … attends,… je dois aller en ville, pour des contacts à la DDE. … Je m’arrange pour en finir rapidement et on se retrouve, … mais Je ne veux pas de l’amour gentiment, je veux que tu me baises, fort, très fort, je veux que tu me caresses partout, je veux sentir tes mains sur ma peau, je veux jouir, je veux que tu me donnes du plaisir, je veux m’évanouir de plaisir »
En attendant l’arrivée de Mireille, je me disais que, certes à mon âge j’avais connu quelques femmes mais aimant le sexe ...
... comme elle, jamais. Je l’avais côtoyé pendant environ 4 ans, je ne l’aurais jamais imaginé comme je la voyais et la pratiquais aujourd’hui, et je me demandais jusqu’où elle était capable d’aller.
Environ dix minutes après mon arrivé à l’endroit prévu, Mireille arriva et se gara à coté de ma voiture. Par courtoisie je descendis de voiture pour l’accueillir, en ouvrant les bras dans lesquels elle vint se blottir. Et l’un contre l’autre nous commençâmes à nous caresser, nos bouches se retrouvèrent et nos langues entreprirent de se lécher, se caresser. Tout son corps, collé contre le mien, vibrait et ondulait au rythme de ce baiser. J’en profitais pour glisser les mains sous sa blouse et la caresser, parcourant son dos en tout sens, puis soulevant sa jupe j’entreprenais ses fesses.
Enfin la soulevant je la fis s’asseoir sur le capot de la voiture et je me plaçais entre ses jambes écartées, tout en continuant mes caresses partout où mes mains avaient accès. C’est alors que Mireille déboutonna sa blouse pendant que j’en faisais autant de sa jupe. Elle ouvrit les bras faisant jaillir ses seins, et me les offrit : « Prends les, …suces les, … aspires les, … j’aime quand tu les fais durcir, … » Je les avais pris en bouche et les tétais, l’un après l’autre pour enfin m’en remplir la bouche et terminé en mordillant les tétons jaillissant et durs. Le tout ponctué de « OOOHHH, … oui, …, encore, … ». La jupe étant ouverte sur ses cuisses elle les écarta largement : « Tu vois c’est à toi, ...