Histoire de Soumise-à-lui (15)
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: soumise72, Source: Xstory
... pour s’assurer que la soumise mouillait bien, la cyprine coulait.
— Tu aimes cela salope ?
— Oui Monsieur.
— Tu en reveux encore ?
— Oui Monsieur.
Il fit mettre la soumise à genoux, lui mit des pinces sur les tétons et le clito. Les coups tombèrent sur les seins, Monsieur S s’ingéniait à bien viser les pinces pour ne pas les faire tomber, mais que la soumise subisse la douleur. Une fois les pinces tombées, la soumise se retrouva dans la position initiale, Monsieur S. la sodomisa d’un coup, excité comme elle l’était, elle demanda la permission à son maître de jouir, ceci lui fut accordé, elle poussa son cri de jouissance pendant que Monsieur S vidait ses couilles dans son cul. A la demande de son maître, soumise dût boire le sperme contenu dans la capote de Monsieur S, ce qu’elle fit avec délectation.
La soumise dût ensuite sucer cette queue pour qu’elle retrouve une bonne forme, pendant ce temps, Monsieur S titillait le clito de la soumise, ce qui ne manqua pas de la faire jouir.
— Soumise, tu n’as pas demandé la permission, je veux que Monsieur S te punisse comme il se doit !!
La soumise dût s’allonger au travers du lit, jambes ...
... pendantes, mais ouvertes, chattes en direction de son maître, Monsieur S lui asséna plusieurs coups de badine sur la chatte, la douleur insoutenable empêcha soumise de garder les jambes ouvertes. A plusieurs reprises, le maître la reprit à l’ordre, son calvaire continua tant que les jambes ne restaient pas ouvertes, soumise pris beaucoup sur elle et parvint enfin à ne pas fermer les jambes, ce qui permis que le calvaire cesse.
Le maître pas à bout d’idée, demanda à Monsieur S de branler la soumise, de son côté, soumise ne devait pas jouir tant que le maître ne lui en aurait pas donné l’accord.
Monsieur S, très pervers, branla la soumise à la faire jouir, la cyprine coulait, soumise sentait l’orgasme monter au prix d’un énorme effort de contrôle sur soi, elle réussit à ne jouir que lorsque le maître le permit.
L’orgasme fût plus fort, plus intense, soumise poussa un plus fort cri de jouissance, et s’écroula. Elle eut beaucoup de mal à redescendre et retrouver ses esprits. D’un commun accord, Monsieur S et le maître convinrent d’en finir là dans la soumission.
Avant de partir, Monsieur S urina dans la bouche de la soumise, celle-ci n’en perdit pas une goutte !