1. Thomas et son père (2)


    Datte: 12/07/2018, Catégories: Gay Auteur: yphos, Source: Xstory

    ... en me remerciant de ma gentillesse. Il veut me faire une bise sur la joue et, involontairement, je tourne la tête au même moment. Nos lèvres se touchent. Si lui se recule en s’excusant, ce contact, même furtif, m’a envoyé une décharge électrique jusqu’au slip.
    
    Je reprends ma place et nous échangeons à nouveau des banalités. Je reste troublé malgré tout par papa. J’ai envie de me blottir dans ses bras, mais surtout de revoir son sexe, qui obsède tant mes pensées !
    
    Par la suite, quand je m’éloigne pour aller chercher le plateau-repas, je sens son regard dans mon dos. J’en ressens une certaine fierté, mon désir naissant de le séduire semble fonctionner.
    
    J’en rajoute en roulant un peu le derrière, mais pas trop, ou en me penchant ostensiblement à chaque prétexte pour lui exposer mes fesses. Je le surprends même, confus de m’observer.
    
    Il me faudra l’aguicher un peu plus à l’avenir, mais éviter de trop en faire, pour ne pas attirer ses soupçons.
    
    La soirée s’écoule normalement et papa est en train de s’assoupir. Profitant de son demi-sommeil, j’attrape ses jambes pour les allonger sur le canapé et, à peine conscient, il m’aide dans la manœuvre. Au moment où ses jambes sont écartées, je constate qu’il est nu sous son peignoir. Quelle aubaine !
    
    Je baisse progressivement le son de la télévision avant de l’éteindre complètement, puis m’agenouille près de lui. Je n’entends plus que sa respiration profonde et un début de ronflement. J’attends un peu, puis entreprends de ...
    ... réaliser le désir obsessionnel que j’ai en tête.
    
    Délicatement, je desserre la ceinture, puis ouvre les pans de son peignoir.
    
    Alors là, j’ai une vue splendide sur son service trois-pièces.
    
    Ses grosses couilles, surmontées de sa bite pendante, sont là, à portée de ma main impatiente et fébrile.
    
    Ca me fait trop envie ! J’effleure légèrement la peau de son sexe, c’est doux comme du velours. Je m’enhardis et fais courir un doigt sur la hampe, il me semble sentir un frémissement. Très délicatement, j’enserre mes doigts autour de son membre et lui applique un doux mouvement alternatif.
    
    Pas de doute, je sens gonfler son engin et ça m’émeut encore plus.
    
    Papa a un petit frisson, mais ne se réveille pas, il attrape la chair de poule...
    
    J’hésite, que faire ? Retirer ma main ou le branler énergiquement comme j’en ai tant envie.
    
    Je préfère rester entre les deux choix et continuer ma caresse voluptueuse.
    
    Sa matraque est de plus en plus dure et je m’aventure à la presser davantage.
    
    Il a soudain des spasmes qui me paniquent, aussi, après avoir sommairement reposé un pan de son habit sur son totem dressé vers le ciel, je m’empresse de m’asseoir sagement dans le fauteuil.
    
    Bien m’en prend, car il geint un peu, puis se réveille. Constatant qu’il est dénudé du bas et que son pavillon est levé, il éprouve une grande gêne à mon égard. Il remarque évidemment que la télé est éteinte et, tel que je suis assis, que c’est lui que je regardais et non plus l’écran...
    
    Une ...
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