1. Une journée mémorable


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, cinéma, amour, jalousie, Oral pénétratio, amourpass, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    C’est bientôt le grand jour ! Ils vont passer devant Monsieur le Maire et Monsieur le Curé.
    
    Bernard Praygla et Florence Tincou se sont connus au lycée en seconde, cela fait maintenant onze ans de cela. Cette année-là, ils avaient un flirt, mais avec chacun quelqu’un d’autre. Ce n’est qu’au milieu de la première qu’ils ont commencé à se fréquenter, après que chacun se soit séparé. Celle de Bernard étant partie dans une autre région. Cela ne l’avait pas trop chagriné, car hors le sexe de temps à autre, peu de choses les rapprochaient. Quant à Florence, des histoires de jalousie avaient provoqué la rupture. Il trouvait qu’elle regardait trop les garçons et elle qu’il regardait trop Agnès.
    
    Bernard est un garçon grand, presque un mètre quatre-vingt-dix et mince aux cheveux noirs. Un nez un peu long soutient des lunettes qui cachent mal des yeux noirs. Il est assez sportif, joue au basket avec l’équipe du lycée et adore la marche à pied et la randonnée, et fait un peu de la course d’endurance. Un goût que lui ont transmis ses parents.
    
    Florence atteint le mètre soixante-dix, elle a les cheveux châtain clair et les yeux noisette. Son nez est un peu retroussé et sa bouche charnue. Elle a des rondeurs où il faut, mais pas trop. Elle est moins sportive que Bernard se contentant de l’EPS du lycée et d’un peu de piscine. Bernard donnera son goût de la rando à Florence, mais pas celui de la course. Elle lui insufflera celui des bassins.
    
    Un exposé en commun et ce « célibat » ...
    ... concomitant les avaient rapprochés. Après deux ou trois séances de travail au CDI, ils ont commencé à s’apprécier. Ils faisaient route ensemble pour aller ou revenir du lycée, et sont sortis au cinéma.
    
    Si lors des deux premières projections ils suivirent le film, lors de la troisième ils s’intéressèrent beaucoup moins à l’écran et beaucoup plus à la personne qui était à côté d’eux. La pub passée, ils profitèrent d’être un peu isolés au fond de la salle pour échanger leur premier baiser. Après que leurs lèvres se furent séparées, Bernard égara sa main dans l’échancrure du corsage de sa condisciple. Il se battait depuis deux ou trois minutes avec le soutien-gorge qui gênait son exploration quand Florence se leva brusquement. Bernard se dit qu’elle n’avait pas dû apprécier son audace aussi, lorsqu’elle revint, se tint-il coi. Ce que voyant Florence appuya alors sa tête sur son épaule. En y regardant de plus près, il s’aperçut que le corsage avait perdu quelques boutonnages, baillait largement et que le gêneur avait disparu. Sa main réinvestit les lieux maintenant sans entrave. Rapidement les tétons de la demoiselle durcirent. La chose était plaisante, mais chacun désirait ne pas s’arrêter en si bon chemin. Se désintéressant complètement du film, il embrassa sa camarade et posa sa main sur son genou. Florence ne s’y oppose pas, et pas davantage quand il glissa sa main sous la jupe. Quand ses doigts atteignirent le slip et commencèrent à agacer ce qu’il protégeait, elle trouva que ...
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