La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1147)
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... allaient dans la même direction ! Je ne pouvais pas me sentir Son égale, j’avais bien trop besoin de soumission, ma nature de chienne était bien trop ancrée en moi ! La vie qu’Il voulait bien m’offrir, pouvoir aimer et être aimée, pouvoir être soumise, guidée, protégée, de manière stricte, toujours juste, en sachant qu’il y a toujours énormément d’amour derrière, c’était m’offrir le paradis sur terre, c’était le bonheur, la plénitude assurée ! Etre Sa femme, marquise, mais toujours et plus que jamais, d’abord esclave !… Il me saisit la main, y déposa un baiser, me tirant un sourire, puis Il la posa sur son bras et nous sortîmes du Petit Salon Privé. Déambuler debout dans le Château était très rare, mais être au bras de Monsieur le Marquis d’Evans était pour moi une grande première, et j’avais le cœur qui battait la chamade. Je me sentais heureuse de pouvoir L’aimer au grand jour, et en même temps, je ne me sentais pas à ma place et mal à l’aise dans cette si belle robe, dans cette position à évoluer en bipédie à Son bras…
Je pris donc une profonde inspiration et essayais de calmer mes tremblements. Le Maître dut sentir mon mal-être. Dans un couloir, soudainement, Il me plaqua contre le mur. Il m’embrassa à pleine bouche, une main se glissa dans mon corsage, me titillant, me torturant les tétons. Quand mon souffle commença à s’accélérer, Il lâcha mes lèvres, s’accroupit et passa sous ma robe de marquise. Je ne portais aucun sous-vêtement, toujours prête, toujours mes ...
... orifices offerts à Sa disposition. Il m’écarta alors aussi largement les cuisses que les jupons de ma robe le permettaient et Il commença à me lécher, à me sucer, à me mordiller de Sa langue baladeuse et vicieusement pénétrante. Très vite, je me mis à haleter, à couiner comme la chienne que j’étais, malgré mes beaux atours. Je mourrai d’envie de me laisser aller aux vagues de plaisirs qui m’assaillaient. Mais le Noble faisait durer le plaisir. Et j’avais de plus en plus de mal à tenir sur mes jambes !
- Quand je te claquerai ton clito si réceptif, tu jouiras Ma petite salope en chaleur !
Et Il continua encore quelques minutes à l’agacer avant de donner cette claque vive et furtive même douloureuse, mais salvatrice et je hurlai mon orgasme, là, en plein milieu du couloir, sans aucune retenue, tandis qu’Il continuait à me lécher divinement. S’Il ne m’avait pas tenue fermement par les hanches, je me serais écroulée sur le sol, sans aucun doute ! Il m’appuya un peu plus contre le mur, le temps de Se relever et Il me prit dans Ses bras. Il me fit lécher ma mouille qui se trouvait sur Ses doigts qui m’avaient pénétrée pendant Son savoureux cunnilingus.
- Parfait Ma salope, Ma chérie, Ma petite chienne en chaleur, détends-toi ! La soirée ne fait que commencer !
Il me sourit tendrement, déposa un baiser léger sur mes lèvres, et quand Il sentit que les forces m’étaient rendues dans les jambes, nous reprîmes la direction du Perron du Château. Juste à temps d’ailleurs, car au ...