1. Des camarades de classe (5)


    Datte: 29/01/2018, Catégories: Gay Auteur: Doogy Woogy, Source: Xstory

    Il n’était pas encore midi quand la voiture fit crisser les gravillons de la cour. La maison était immense. C’était une bâtisse en vieilles pierres de deux étages, dont la façade était partiellement recouverte de vigne grimpante. Sur le perron, un gros chien, sagement assis, semblait avoir attendu toute la matinée l’arrivée des propriétaires.
    
    ─ Quelle belle bête ! Est-ce le vôtre ?
    
    ─ Non, nous ne venons pas assez souvent ici pour pouvoir laisser un chien tout seul, répondit le père. C’est le chien des voisins, mais nous le connaissons depuis qu’il est tout petit, et chaque fois que nous venons ici il nous attend sur le perron. Et cela fait sept ans que ça dure.
    
    ─ Il est vraiment très beau ; il est de quelle race ?
    
    ─ C’est un berger d’Anatolie.
    
    Cyrille caressa le chien affectueusement. C’était un chien imposant et haut sur pattes, au poil clair et doux au toucher. Conscient de sa puissance, il se laissait caresser sans crainte.
    
    ─ Comment s’appelle-t-il ?
    
    ─ Son nom est Zacharie, mais tout le monde ici l’appelle Zack, répondit Philippe.
    
    ─ Pendant que nous déchargeons la voiture, allez faire un tour jusqu’à la ferme et demandez des œufs à Bernard. Vous ferez connaissance, ordonna Evelyne.
    
    ─ Et pense à caresser le chien le plus souvent pendant le trajet, Cyrille. Il s’habituera à ton odeur… Il est très gentil, mais ça reste un chien de berger ; je ne voudrais pas qu’il t’arrive quelque chose, précisa Michel.
    
    Les deux jeunes vacanciers s’en allèrent ...
    ... donc vers la ferme voisine. Le chemin contournait la maison et pénétrait dans un bosquet. Cyrille vérifia qu’il n’y avait personne sur le chemin et se tourna vers Philippe.
    
    ─ Ça te dit un petit coup vite fait derrière les genêts ? Tout ce temps passé à côté de toi dans la voiture sans pouvoir te toucher, c’était frustrant.
    
    ─ OK, mais rapide alors, parce que si nous passons une heure pour aller à la ferme, mes parents trouveront cela bizarre.
    
    Ils entrèrent sous le couvert et Cyrille baissa rapidement son short. Il avait gardé la culotte rose de Virginie. A cette vue, la bite de Philippe se mit aussitôt au garde-à-vous.
    
    ─ Regarde l’effet que tu me fais, mon salaud ! Ça te va bien, tu n’as pas beaucoup de poils… Et quand tu seras un peu plus bronzé, tu seras encore plus sexy.
    
    ─ J’aimerais beaucoup me faire bronzer complètement nu.
    
    ─ Je connais un endroit où tu pourras le faire sans être dérangé. En plus, c’est un coin vraiment chouette. On pourrait y aller dès cet après-midi, quand nous aurons fait la chambre.
    
    Cyrille fit une petite fellation bien baveuse pour lubrifier la verge de Philippe. Cependant, son cul avait maintenant assez de souplesse pour accueillir la belle bite sans trop de préliminaires. Il prit appui sur un rocher et tendit le cul en arrière. Philippe le pénétra d’un coup. Cyrille préférait sentir le pieu progresser lentement pour profiter de la dilatation, mais il fallait faire vite. Philippe, lui, appréciait tout particulièrement de sodomiser ...
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