Adeline, la dévoreuse Suisse-allemande
Datte: 11/07/2018,
Catégories:
fsodo,
Partouze / Groupe
orties,
sm,
Auteur: Spoon95, Source: Revebebe
... taille impressionnante et son cul se dilate facilement pour libérer le corps du prisonnier ! Son trou est resté béant pendant quelques secondes, avant de se refermer et s’ouvrir de nouveau. C’est comme s’il me chuchotait : prends-moi, vas-y fort, fort, fort !
Jetant un coup d’œil vers Vincent qui me fait un signe d’approbation et tenant prête sa caméra, je m’enfonce d’un coup en elle comme les miniers quittant subitement la lumière du jour !
Je me rends compte rapidement que ma bite artificielle est bien plus grosse que son bijou ! L’entrée de son derrière offre une petite résistance. Un petit cri étouffé de plaisir m’encourage à continuer les efforts. J’aime la perversité mais curieusement, je respecte trop la femme pour lui faire du mal ! Ressentant mes doutes, et d’une agilité de chatte aguerrie, elle referme ses jambes derrière mes fesses, ce qui me déséquilibre brutalement ! Comme prévu, tout mon poids se porte vers l’avant et toute ma bite est entrée profondément dans son cul !
La sensation de plaisir commence à monter très vite, et mon inhibition disparaît peu à peu ! Elle prend son pied à chaque coup de butoir, et m’encourage à travers son corps d’aller toujours plus vite, plus loin, plus fort ! Comme un athlète à l’entraînement, je m’efforce de répondre à ses attentes et au bout d’un moment, je ne peux plus me retenir ! Me laissant aller au plaisir de son derrière offert de bon cœur, je prends ses cheveux comme un cavalier serrant les rênes de sa monture ...
... pour besogner son petit derrière et la fesser au galop ! Loin de se cambrer pour éviter la charge, elle relâche ses étreintes pour me laisser profiter des largesses de son corps !
Les anneaux à billes ont produit l’effet escompté et ralentissent à coup sûr toute envie de jouir ! Seul le gland est exposé et reste en contact précaire avec la paroi anale ! Pour ressentir du plaisir, j’ai dû besogner davantage et je profite à peine de sa capacité à contracter et à dilater les muscles de l’anus. Et enfin, je laisse le plaisir m’envahir et finir à l’intérieur d’elle.
Profitant de ma témérité temporaire, j’ai commencé comme promis un travail méthodique de soins sadomasochiste. Une série de claques de plus en plus appuyées sur les fesses. Des baguettes de bois entourées d’un préservatif pour dilater son cul (une vingtaine). Des pièges à rats et des liens pour ses tétons magnifiques mais sensibles. L’installer en déséquilibre au bord du sofa pour que toute sa gorge baveuse avale en entier le gode de 25 cm. Des glaçons sur son sein droit et des cires chaudes sur l’autre sein. Plusieurs coups de cravaches sur la voûte plantaire, les mains, le bas du dos. La fouetter encore et encore avec une ceinture en cuir sur sa chair nue. La changer de position pour que son supplice soit toujours et encore plus présent.
Et enfin, pour le must, je l’ai bâillonnée et enfermé sa tête dans un sac plastique. Ensuite, je l’ai fouettée avec une gerbe d’orties cueillies le matin même au bois, encore ...