1. L'épouse prise


    Datte: 11/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Hujambo Korodani, Source: Hds

    Vers fin juin un soleil caniculaire brillait pendant qu'un mari observait sa femme et son amant sur le lit conjugal. A se trouvait assise sur le matelas toute nue. C, torse-nu, debout devant elle. Il se rapprocha d'elle. Il baissa froc et boxer jusqu'au centre des cuisses. Pénis tendu, il empoigna en chignon-nuque les longs cheveux noirs puis enfonça son chibre sombre dans la bouche mariée. Une manière de les soumettre tous les deux à la fois, son mari et elle.
    
    M debout observait la scène en rougissant partout, particulièrement de la cage-bite. Sa femme pour ce soir lui avait installé une cage qui plus petite, serrait plus son pénis ; métallique elle ne lui accordait aucun répit et restreignait sans pitié ses érections ! Elle lui serrait déjà le sexe quand il ne bandait pas, alors, lorsqu'il bandaient la pression de la cage sur sa bite empirait ; littéralement elle lui donnait l'impression qu'à chaque seconde la dominatrice main épouse lui écrasait le sexe ; une situation qu'il jugeait à la fois désagréable et très érogène ; chaque fois qu'il voyait pendre en collier la clé de sa cage pour chaste sur le pied de son épouse ça le bouleversait érotiquement...
    
    Le braquemart noir entrait puis ressortait dans la bouche tiède ; parfois il entrait jusqu'à la racine du pubis permettant ainsi au gland de chatouiller la gorge féminine ; la bouche qui embrasse l'époux est la même qui fellationne l'amant.
    
    -Regarde comment ta femme me suce !
    
    -Elle te suce bien !
    
    -T'aimerais ...
    ... qu'elle te suce comme ça ?
    
    -Ouais !
    
    L'amant sortit son pénis de la bouche cocufieuse. Il tapota les lèvres de la femme avec son gland ! Manière de prouver au cocu que sa femme lui appartenait et qu'il pouvait faire d'elle tout ce qu'il voulait devant lui. « Branle-moi et suce-moi en même temps ! » Les ongles roses saisirent le pénis. Malgré les deux mains qui branlaient la queue il restait toujours la marge pénale haute. Elle emboucha le gland de son amant Noir. Pendant qu'elle fellationnait le petit cœur ultra sensible elle masturbait aux ongles roses la matraque vivante en vas-et-vients-circulaires. Elle le sentait durcir à travers ses mains et à travers sa bouche.
    
    « Allonge-toi, je vais te lécher ! » L'épouse s'étala sur le dos puis elle ouvrit les cuisses. L'amant posa la bouche sur son vagin. Les lèvres noires épaisses répandaient plaisir et douceur dans les petites lèvres roses. Elle gémit répétitivement lorsque la bouche lécheuse se mit à téter son clitoris.
    
    Le cocu qui regardait la scène et qui entendait les gémissements féminins se mit à bander plus fort et à subir une érection plus douloureuse dans sa petite cage très serrée. Il se souvenait du goût, un goût variable, parfois légèrement salé, parfois légèrement sucré, le goût de la vulve de son épouse ; il se souvenait de l'odeur, une odeur charnelle, une odeur aphrodisiaque, parfois animale, qu'il aimait renifler mâle en rut. Comme il aurait aimé remplacer celui qui était en train de sucer le clitoris ...
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