1. Chap 28 : La colo des gros lolos. (suite)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Anal Hardcore, Humour Auteur: BreizhouXXX, Source: xHamster

    ... sa case la plus attractive, la rue de la paix ou plutôt la rue du "pet".
    
    Anaïs est en culbute arrière, ses genoux de chaque côté de sa tête et je dévore son trou de balle comme un morfale. Ma langue lèche, rentre, sort, navigue autour de son anneau que j'aime tant. Elle m'excite tellement que ma phase réfractaire est de courte durée.
    
    Elle soupire de plaisir.
    
    - Ouuuuhhh oui, tu me fais mouiller comme une chienne.
    
    Je la sens chaude comme une baraque à frites. Ma queue est à nouveau dure comme l'acier et je l'enfonce facilement dans son anus dilaté. Cela lui arrache ses premières vocalises. J'accélère progressivement mes va-et-vient en grognant à mon tour. Nous savourons cet instant complices en communiant par des sourires qui veulent tout dire. C'est super bon.
    
    Alors que ses gémissements se font de plus en plus sonores, je me retire et plonge ma tige dans sa bouche. Elle me pompe avec délectation, puis je retourne dévaster ses chaires obscures.
    
    Je me régale de cette sodomie profonde, tout comme Anaïs qui crie sa jouissance. Elle n'en peut plus, sauf que ...
    ... moi j'ai de la ressource, ayant déjà éjaculé une première fois. Je suis inarrêtable, voir incontrôlable.
    
    Je la retourne et la mets à quatre pattes, ce qui lui donne quelques secondes de répit. Je crache sur sa rondelle avant de pénétrer son cercle endolori. Je suis comme une bête sanguinaire, les yeux grands ouverts, mâchoire serrée et je lui casse le cul sauvagement en la tirant par les cheveux. Je suis complètement déconnecté, pas dans un état normal, je ne sais même pas si elle pousse des cris de plaisir ou de douleur. Ses deux grosses pastèques remuent dans tous les sens, alors que son agonie se termine. Dans un dernier élan, je sens mon sexe se raidir, mon gland se gonfler à bloc, mon cerveau bouillonne, c'est l'irruption. J'inonde son rectum de ma semence gluante, avant de m'avachir sur elle. Nous reprenons notre respiration, elle me sourit:
    
    - Je vais avoir du mal à m'asseoir demain avec ce que tu m'as mis.
    
    - Tu mettras un coussin sous tes fesses comme les mamies.
    
    Nous nous embrassons une dernière fois et nous allons dormir sereinement.
    
    A suivre... 
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