1. Ma salope de femme me cocufie avec un drôle d’inconnu. (Suite 7)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Ce dernier dimanche avant la fête paroissiale, j’attendais avec impatiente Lili qui s’était une nouvelle fois donnée en pâture au curé du village. Cela faisait plus de deux mois, que j’étais dans l’impossibilité de la toucher depuis qu’elle m’avait surpris en train de baiser avec sa mère. Lorsqu’elle était rentrée avec son air rayonnant pleine de satisfaction, j’avais décidé de mettre les points sur les i :
    
    — Tu as encore baisé le curé, je suppose ? Peut-on maintenant faire la paix ? Tu t’es vengée de moi et je pense que cela doit se terminer.
    
    — Pas du tout mon amour, je prends tellement de plaisir en pensant à toi que j’aurai pris ma revanche samedi prochain.
    
    — Ah bon ! Pourquoi ?
    
    — Parce qu’un curé, c’est insolite, mais samedi ce le sera encore plus. Crois-moi. Après, je te laisserai me reprendre comme tu le désireras. Je te le jure.
    
    Ce fameux jour de kermesse était là, j’étais au stand de vente de gâteau avec Adèle car je ne devais plus m’approcher de Sophie, ma belle-mère. Je ne perdais pas au change, car Adèle, quoiqu’un peu forte était devenue ma maitresse et je ne perdais pas au change car c’était une femme très vicieuse avec laquelle je prenais beaucoup de plaisir.
    
    Ma Lili d’amour avait fait fort, par ce magnifique après-midi très ensoleillé, du haut de ses vingt-trois ans, elle s’était vêtue uniquement d’un tout petit débardeur blanc arrivant juste au niveau de son nombril avec un large décolleté et de toutes petites bretelles, d’un mini short en ...
    ... jean bleu taillé au ciseau laissant voir la naissance de ses fesses et chaussée de baskets blanches en tissu. Elle avait le stand d’à côté qu’elle tenait où les enfants pouvaient admirer certains animaux de la ferme, avec Gérard le copain de Justine, une autre conquête à moi mais notre relation n’avait pas duré très longtemps. Adèle était passée par là en lui disant : « Chasse gardée. »
    
    Elle donnait à manger aux animaux ou nettoyait le poney avec une grosse brosse dans les mains. Lorsqu’elle se baissait, les hommes pouvaient admirer sa poitrine compressée avec cette raie qui séparait ses deux seins sans soutien-gorge ou ses fesses qui tendait le tissu de son mini short. Elle n’hésitait pas à se dévoiler devant l’assistance, j’en bavait de jalousie. Toute l’après-midi, ce fut un défilé d’hommes accompagnant leur bambin, ils passaient et repassaient sans jamais se lasser du spectacle qu’elle leur offrait gratuitement. Certaines femmes jalouses de son corps magnifique, il faut le dire, venaient même rechercher leur mari en râlant après eux. Elle n’avait pas encore trouvé sa perle rare, et vint me l’annoncer. Bien sûre elle était déçue mais à une heure de la fermeture, elle me fit un signe. Il n’y avait plus grand monde à la kermesse et personne à son stand. J’aperçois alors un vieux monsieur, un septuagénaire avec un garçon de 10 ans à 12 ans que j’avais supposé être son petit-fils. Lili était radieuse, elle avait gardé ce vieil homme en haleine pendant près de 35 minutes. ...
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