Rencontre coquine avec le fils de ma meilleure ami
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
Première fois
Hardcore,
Mature,
Auteur: Verybigload, Source: xHamster
... vision.
J’entre dans la maison comme attirée par une force irrésistible.
J’avance sans bruit vers la porte de sa chambre. Claude n’a rien vu et continue, tranquillement à se branler en regardant son film. Je vois sa main monter et descendre lentement tout au long de cette hampe sans fin.
Je marche vers lui comme un automate et accroche une chaise au passage, je pousse un petit cri de douleur.
Claude sursaute, il vient de me voir et, le regard épouvanté, il essaye, pudiquement, de rabattre le drap sur son ventre pour cacher à ma vue son obélisque dressé.
Je me précipite vers lui, tombe à genoux devant le lit et pose ma main sur la sienne pour arrêter son geste.
- Non, je murmure, n’aie-pas peur. Je ne te veux pas de mal.
Claude me dévisage, effrayé, ne sachant plus quoi faire.
Je caresse sa main et ajoute, le regard braqué, admirative, sur ce poteau qui n’a pas désarmé :
- Que c’est beau!
Les yeux de Claude font le tour de la pièce, comme pour se rassurer qu’on soit bien seuls.
Puis il comprend peu à peu ce qui est en train de lui arriver et effleure mes cheveux de ses doigts. Il cherche mon regard, il est toujours crispé mais me sourit timidement.
Je ne peux plus me retenir. Avant même qu’il ait eu le temps de comprendre, je me jette littéralement sur ce pic de granit et l’emprisonne comme je peux entre mes doigts pendant que l’index de mon autre main agace la tête ronde, gonflée et luisante comme un chapeau de champignon.
Mais le soc ...
... massif, raide comme un bout de bois, tendu à éclater, ne peut ni grossir ni s’allonger davantage. Pour faire honneur à mes caresses, impuissant à augmenter son volume, il se met à battre un peu plus fort, et ses grosses veines noueuses enflent peut-être encore.
Un émoi étrange m’étreint à la vue de chaque nouvelles bites, identiques mais cependant si différentes dans leurs formes.
Tout en caressant ses grosses couilles velues, j’approche ma bouche du gros chibre et pose délicatement mes lèvres sur le gland à vif, ma langue le lèche à petits coups, lui arrachant des gémissements.
Un peu étonné et peureux mais heureux du tour que prend la situation, Claude glisse un regard vers mes lèvres lisses aux bords ourlés qui ont happé avec difficulté son manche avec la voracité de piranhas pendant que ma main moule la racine touffue.
Omniprésente et subtile, ma langue glisse sur le pourtour de la tige, s’enroulant au gland comme un serpent sur sa proie.
Claude n’en peut plus. Des insectes voraces s’affairent maintenant par grappes piquantes au creux de ses reins tendus.
Ma bouche brûlante et humide s’est refermée autour de son gland, il se laisse aller en arrière, secoué par des frissons étranges, dans un râle sourd de gorge.
Puis il se met à haleter sous l’attaque dédoublée de ma langue savante et de mes doigts experts qui le massent, l’agressent, obstinés à étouffer un pénis cambré qui ne demande qu’à respirer.
Ouvrant en grand la bouche, j’enfourne le bout de la ...