1. Homme offrant des orgasmes multiples par caresses à une JF


    Datte: 09/07/2018, Catégories: fh, hplusag, profélève, vacances, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nopéné, jeu, yeuxbandés, init, prememois, Auteur: Scenarios Parisiens, Source: Revebebe

    ... culotte blanche sage et pas de soutien-gorge. Ses petits seins n’avaient pas besoin de soutien, et l’absence de sous-vêtement rend une femme plus désirable mais aussi plus fragile et plus féminine. J’imaginais ses tétons dressés caressés par le vent. Cela devait faire quelques jours que Pauline essayait sa robe et sa tenue, je le savais. Elle avait dû user son miroir. Et elle n’aurait pas pu faire meilleur choix, je dois dire, j’aimais son goût.
    
    Elle quitta la route pour rentrer dans un champ et pointa un emplacement sous un bel arbre pour garer ma voiture à l’ombre. Comme convenu, je sortis du coffre le panier de pique-nique et nous nous éloignâmes de la route en suivant un petit chemin, sans nous tenir la main comme je lui avais promis. On marcha dix bonnes minutes en parlant de tout et de rien quand enfin, on arriva en haut d’une colline avec un point de vue magnifique sur une vallée, sans vis-à-vis. Un endroit romantique à souhait, calme et serin. La cloche du village marqua 11 heures.
    
    Sur un carré d’herbe, j’étalai une première couverture confortable, puis un joli drap vert. Ce n’est qu’une fois assis et cachés au milieu des fleurs que Pauline m’embrassa sur la bouche avec force. C’est comme si elle avait besoin d’un cocon protecteur rassurant et intime. Ce baiser enflammé résumait bien la nature de ses envies, le côté face de sa personnalité qu’elle cachait très bien par un côté pile de fille réservée et timide.
    
    Cet échange de baisers dura bien un bon quart ...
    ... d’heure puis Pauline me prit la main et regarda sans parler le paysage étalé sous nos yeux. Le soleil de midi arrivait, la vue était magnifique, il y avait un petit vent et l’on sentait le parfum d’une soupe dans l’air qui devait mijoter dans la cuisine d’une ferme environnante.
    
    Pauline s’allongea et ferma les yeux. Elle savait ce qui allait se passer, nous avions beaucoup échangé sur notre première rencontre. La façon dont elle allait se passer. Je crois bien que Pauline en avait rêvé souvent et l’instant était arrivé où tout allait se concrétiser. Du panier, je sortis un léger foulard bleu que je nouai autour de ses yeux. Pauline, la belle timide, se laissa faire, laissant ses autres sens se mettre en éveil.
    
    Je la regardai quelque temps ainsi, belle qu’elle était, allongée, yeux bandés, offerte à moi, dans ce carré de verdure, perdu dans ce paysage magnifique sous ce soleil d’été. Pauline frissonna quand mon premier doigt se posa sur elle. C’est là, à l’angle de son cou fin et gracile, que prit naissance la première caresse. Lentement, ma main partit en effleurement, à la découverte de ce corps sublime de jeunesse et de beauté. Je crois bien que, jamais encore, je n’avais pris autant de plaisir à sentir sous mes doigts la sensualité d’un corps se réveiller aux plus belles sensations.
    
    Je devinais les tétons de Pauline pointer d’envie sous sa robe. Sa respiration lente et douce la mettait dans une certaine torpeur. Mes caresses avaient pris possession de son cou, de ses ...
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