1. Sexe , Inceste et Triolisme (1)


    Datte: 09/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: celestin999, Source: Xstory

    ... remontais entre ses cuisses. Plus je remontais, plus elle s’ouvrait. Sa culotte était mouillée. Soulevant l’élastique, j’écartais les bords de sa fente...... trempée. Sans attendre, je l’ai basculée sur le dos. Elle n’opposa aucune résistance quand je lui ai retiré sa culotte... au contraire.
    
    Cuisses écartées, vulve ouverte et gluante, agrippée à mes épaules, je n’ai pas eu à forcer... l’entrée du temple était largement ouverte.
    
    — Ooooooooooooooooooohhhhhhhhhhh...
    
    La nature m’a doté d’un engin qui frise les 20 centimètres de long au gland bien joufflu en érection. En lui mettant bien à fond d’emblée, elle a su comment j’étais monté.
    
    Sans sexe depuis deux ans, bien qu’elle ait dû se toucher le bourgeon entre temps, ouverte à ma queue bandée, le vagin coulant et dilaté par le désir, Cécile s’offrait.
    
    Quelques va-et-vient ont suffi et elle a joui en gémissant le visage enfoui dans mon cou.
    
    Trop vite... J’avais encore envie de profiter de sa chatte et continuais à la besogner.
    
    —..... oui... encore..... a-t-elle murmuré.
    
    A chaque remontée, j’allais buter au fond de sa grotte appuyant mon gros joufflu contre son dernier rempart. Un deuxième orgasme l’emporta dans un autre profond gémissement... Je n’étais pas mécontent de moi... dès la première rencontre, je la baisais et la faisais jouir deux fois de suite sans me retirer.
    
    A mon tour, coup de reins, planté à fond, je prenais mon plaisir, me vidant les boules...
    
    — Mon Dieu...... ...
    ... souffla-t-elle.
    
    Deux semaines sans avoir pu baiser, je venais de lui envoyer quatre à cinq jets de sperme bien gras et sirupeux.
    
    Emboîté le temps que mes dernières contractions évacuent, le jus resté dans ma lance, et je me suis retiré, la queue molle, soulagé. Il était temps de rentrer chez moi pour ne pas attirer l’attention de son fils.
    
    Sur le pas de la porte, échangeant un dernier baiser, elle s’est offerte sans retenue. Je profitais de dégrafer totalement son soutien-gorge, pétrir sa poitrine épanouie, sucer ses gros bouts. Ma main dans son entrejambe, je lui massais la motte, Cécile soupirait doucement le ventre en avant. Sans culotte, sur les bords de sa fente, sa toison était gluante. Je bandais de nouveau.
    
    Une main sur chaque épaule, je l’ai fait descendre à bonne hauteur... soumise, une main sous mes testicules, l’autre tenant mon cierge, sa bouche a enveloppé mon gros joufflu. Elle avait la bouche pleine. Sa langue me chatouillait agréablement sous le gland. Elle savait sucer, juste comme j’aime, face à moi sa langue faisant de petits va-et-vient, pas besoin de bouger, juste lui maintenir la tête.
    
    Mon plaisir est venu, sans prévenir j’ai joui, ma queue a tressauté dans sa bouche. J’avais encore quelques réserves, elle a avalé mon sperme sans réticence jusqu’à la dernière goutte.
    
    Après m’avoir nettoyé et remballé la queue.
    
    — Tu m’appelles demain... dit-elle sur un ton presque suppliant.
    
    Le lundi matin, prenant de ses nouvelles elle me confia qu’elle avait aimé ce ...
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