Le verrou
Datte: 08/07/2018,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
inconnu,
hotel,
cérébral,
revede,
Masturbation
fdanus,
québec,
regrets,
Auteur: Julyonthesky, Source: Revebebe
... la porte. À la gauche, je devrais presque dire à la moitié de l’œuvre, un lit défait, des couvertures de velours et un drap qui semble être du même tissu que la robe de sa maîtresse. Et tout en bas de la toile une pomme, seule, placée sur une table. Cette pomme, symbole de la tentation, me laisse perplexe. Je m’approche de la toile.
Je me demande si la femme est consentante. Elle semble vouloir se débattre avec son désir. Partir ou rester ? Veut-elle se sauver après des ébats torrides ? Les draps sont défaits, le lit inspire la luxure. Tout à coup, je sens une chaleur monter des orteils à mes jambes. Je détache mon foulard et je remarque de ma main, les effleurant à peine, les pointes de mes seins durcies.
Le lit parle de lui-même : les oreillers les pointes en l’air, les courbes et les reliefs des draps suggèrent les formes du corps. J’aimerais être dans cette chambre, ne pas participer mais regarder, être voyeuse. Savoir ce qui s’est passé avant ce moment. Pourquoi veut-elle partir ? Il me semble très attentionné. Ma petite culotte commence à être mouillée et ce n’est pas la pluie… Le rouge me monte aux joues, et je décide de partir, de fuir ce désir qui monte.
Confuse le restant de la journée, je repense à cette expérience le soir, dans mon bain. Le jeune homme sur la toile veut garder sa maîtresse, la baiser encore et encore, malgré le moment déjà passé avec elle. Ce n’est pas une beauté classique cette femme, rien d’extraordinaire à part son cou, qu’elle a un ...
... peu long d’ailleurs. On sent cette femme alanguie, presque droguée, j’aurais peut-être aussi à la place du jeune homme l’envie de lui embrasser le cou et presque de la mordre. Je sens l’émoi du matin revenir.
Ma main se déplace tranquillement de mon ventre à mon sexe caressant en douceur mes petites lèvres. Elles palpitent sous mes doigts. Malgré l’eau du bain, je mouille si bien que je peux en recueillir un peu et venir agacer, pincer mon clitoris qui ne demande que ça. J’aurais besoin d’autre chose. Mes doigts ne suffisent pas. Je pense alors à ma brosse à dents fonctionnant à piles dans mon sac à cosmétiques. Je m’installe au bord du bain, mets un peu d’huile sur sa tête et fais glisser la brosse à dents vibrante dans ma fente. Un cri m’échappe, la sensation des poils drus sur mon clitoris fait des petits chocs retentissants jusqu’aux orteils.
Dans ma tête les images changent : le jeune homme est en train de déguster, la tête à travers les jupes, le sexe de madame. Elle se tortille un peu, ramène sa tête pour l’embrasser car elle ne semble pas vouloir prendre son plaisir de cette façon. Les mains du jeune amant lui triturant ses mamelons lui broient les seins. Il prend son amante et d’un geste volontaire la retourne.
Le personnage devient Michel que je vois à travers le désordre des draps en train d’examiner et de caresser la courbe de sa croupe. Il passe sa main du sexe de la jeune femme jusqu’entre ses fesses. Il s’assure que son petit anneau est bien lubrifié et ...