1. COLLECTION COCU. La lectrice de H.D.S. Pigalle (1/1)


    Datte: 07/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... tourner avec le beau Rocco, mais la rencontre avec Gérémy m’a permis de tourner la page.
    
    • Regardez, quelle poitrine, je suis sûr que vous aimeriez mettre votre nez entre ces deux magnifiques globes, dommage, ici, on regarde sans toucher.
    
    Je continue mon numéro, en m’asseyant sur une chaise que me passe Tanguy des coulisses, j’enlève mes chaussures et mes bas un à un, je sens la salle dans l’ombre où une dizaine d’hommes et un couple me regardent tendu comme aux meilleurs jours où je faisais bander ces messieurs.
    
    En croisant mes jambes, je ressens la chaleur du projecteur que le patron de cette salle minable dirige sur ma chatte encore couverte de ma petite culotte en dentelles que j’ai choisies sans savoir que je serais amenée à la montrer aux hommes qui doivent bander dans cette salle.
    
    Je me relève tenant un de mes bas et je défais ma jupe qui tombe au sol me montrant seulement vêtu de ce petit bout de tissu en dentelles.
    
    Je fais passer le bas entre mes cuisses et me retournant, je leur montre mes rondeurs bien conservées malgré les années où je faisais déjà ces mouvements et que je croyais terminés à jamais.
    
    • C’est bien, Natacha, fait voir à ton public, comment tu aimes qu’ils bandent pour toi !
    
    Le patron m’encourage, mais en ais-je vraiment besoin, il y a une semaine, je suçais des bites me faisant couvrir de sperme aujourd’hui, c’est ma jeunesse qui me rattrape, mais la chaleur des regards doublés de celle du projecteur me fait couler d’envie de ...
    ... leur montrer ce qu’était le clou de mon spectacle.
    
    Ma chatte est en feu et quand je jette mon bas pour empoigner mon entrejambe et arracher ma culotte retombant sur ma chaise les jambes bien écartées, elle est trempée.
    
    Je prends mes grandes lèvres avec mes doigts, je les écarte montrant au public le plus profond de mon être.
    
    Quand j’étais jeune, j’ai été la première à faire fi de la censure et à montrer l’intérieur de mon vagin sans que les autorités ne m’arrêtent, comment ceux qui semblent tirer les ficelles savent ce détail de ma vie, je l’ignore, peut-être que Tanguy acceptera de m’en dire plus.
    
    C’est à ce moment que le projecteur s’éteint et que la main de Tanguy me permet de sortir de scène sans me casser la figure.
    
    • Habille-toi, tu passes dans la salle voisine dans dix minutes, ça t’a plu ?
    
    • Comment as-tu su ?
    
    • De quoi parles-tu, dépêche-toi, tu vas être en retard.
    
    Je suis sur scène de nouveau, la salle est aussi minable que l’autre et les hommes à l’intérieur du même acabit, ici, je m’appelle la grande Élisabeth venue des plus grands cabarets hollywoodiens où je me produisais.
    
    Ce qui est sûr, c’est qu’il m’a fallu trouver une culotte pour faire la fin de mon numéro, je vois Tanguy sortir précipitamment et revenir juste au moment où j’écarte ma chatte plusieurs culottes à la main.
    
    • Je suis allé sur le boulevard te chercher du rechange, tu retournes dans l’autre salle et tu recommences ton numéro.
    
    J’ai recommencé trois fois dans chaque ...