1. La révélation


    Datte: 07/07/2018, Catégories: fh, ffh, couplus, extracon, Collègues / Travail vengeance, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, exercice, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... contrainte pouvait casser l’ambiance, lorsque j’ai un flash, une vision qui me terrorise : celle de Jean-Marc enculant sa pute sans capote. Je crois que je vacille et n’arrive qu’à dire :
    
    — Jean-Marc, dans le bureau…
    
    Laurent a dû comprendre ma soudaine crise d’angoisse, car en une phrase il me rassure.
    
    — Non, ne t’inquiète pas : ils avaient fait le test aussi. Nadine – et en prononçant son prénom il se tourne vers elle, qui attend à quelques mètres – me l’a assuré et m’a montré les documents.
    
    Ainsi, c’est cela, l’attrait du mystère et de la tromperie ? J’ai honte, mais j’attendais cette journée avec impatience. À la maison, c’est service minimum. On parle, mais rien d’important ; et pour ce qui est du sexe, ceinture ! Mais d’une certaine façon, je me prive moi-même. D’habitude, nous faisons l’amour au moins deux à trois fois par semaine. Ce manque participe à mon impatience et c’est d’une main légère que je sonne chez Laurent. Sa femme m’ouvre. Je la toise, heureuse qu’elle connaisse cette humiliation de me recevoir dans sa propre maison. Pas désarçonnée du tout, elle me dévisage, et en connaisseuse regarde ma tenue. Cette fois, je n’ai pas fait dans le discret. J’ai mis tout ce que j’avais de plus sexy. En quittant la maison, bien que je porte une gabardine en prévision d’une averse. C’est du moins ce que j’ai dit à ma mère ; j’ai bien vu qu’elle se retenait de faire une remarque. Et encore, elle ne savait pas quels dessous j’avais choisis. Suprême vengeance : ...
    ... ce sont ceux que Jean-Marc m’a offerts. Soutien-gorge à balconnets et surtout petite culotte dont le prix est inversement proportionnel à la surface de tissu.
    
    En montant l’escalier, alors que Nadine me regardait, j’ai sorti de mon sac le résultat d’analyse du labo et je l’ai agité comme un trophée. Je ne me connaissais pas si garce ; mais cela fait du bien.
    
    Avec Laurent, nous n’avons pas perdu de temps. Il a tout de suite senti que j’étais chaude et que j’avais dépassé le stade du remords. C’est moi qui ai mené la danse – juste retour des choses – et je lui ai montré que moi aussi je n’étais pas inexpérimentée. Bien sûr, il avait déjà sous son toit et dans son lit une femme que j’avais vue à l’œuvre avec mon mari, et qu’il me fallait au moins égaler pour le principe.
    
    J’ai commencé par le sucer, gobant ses boules et l’astiquant longuement de la main pendant que je l’embouchais le plus loin possible dans ma gorge. Je ne suis pas mauvaise à ce jeu-là, dixit mon mari. Mon cher mari qui m’a aidée à progresser, et ce n’est pas la plus petite de mes vengeances d’en faire profiter le mari de sa maîtresse. Cet homme que je fais gémir et qui guide ma fellation par ses mains sur ma tête. Je suis prête à accueillir sa semence lorsqu’il me repousse et souffle :
    
    — Pas encore.
    
    Et il s’allonge sur le lit. Je rampe à mon tour pour aller le chevaucher et me posséder sur le bâton raide et humide que ma main guide vers ma grotte. Nous nous embrassons à pleine bouche, puis je me ...
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